24/07/2011
Irréflexions (24)
Amours diptériques
— Je n’ai pas le baygon pour vous !
— Vous m’en voyez ravie !
Lâché à un élève (?) : « Quand tu me diras quelque chose d’intelligent, j’irai chez le coiffeur. »
Devrait-on pleurer plus en période de sécheresse ?
In vino very Stas.
Comme sous-vêtements, elle ne portait que le strinct minimum.
À découvrir sur le blog d'Éric Allard, une critique de NON au littérairement correct !
07:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (15)
Commentaires
Écrit par : Marc Bonetto | 24/07/2011
Écrit par : Éric | 25/07/2011
Sinon ,j'ai connu un Stas .Amateur de gros cigares et de bimbos.
Ça doit sûrement pas être le même ... ?! Quoique ?
Écrit par : carmelo | 24/07/2011
Le Stas à qui je fais référence (avec son accord) roule ses cigarettes. Pour les gros cigares et les bimbos, je ne sais pas.
Écrit par : Éric | 25/07/2011
Que ferions nous d'un monde parfait ? Qu'aurions nous à dire ou écrire?
Oui , je sais... je m'égare
Écrit par : carmelo | 24/07/2011
Écrit par : Éric | 25/07/2011
Baygon ravi. Il y a un jeu de mots lamentablement vianesque ?
Écrit par : Marc Bonetto | 25/07/2011
Écrit par : Éric | 26/07/2011
Écrit par : Marc Bonetto | 26/07/2011
Écrit par : Éric | 26/07/2011
Écrit par : Marc Bonetto | 26/07/2011
Voici ce qu'elle m'a dit de te transmettre.
Écrit par : Éric | 27/07/2011
Ton.
Écrit par : Marc Bonetto | 28/07/2011
Écrit par : Éric | 29/07/2011
Écrit par : Marc Bonetto | 31/07/2011
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