Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/04/2012

Mi(ni)crobes

Petit rappel pour ceux qui ne lisent pas les "colophons", comme l'ami Marzu. Les "colophons" changent à chaque numéro du Mic... Pas le prix de l'abo depuis je ne sais plus quand.

Les MI(ni)CROBES sont de petits débordements de la revue Microbe. Chaque plaquette propose des textes d'un auteur ayant retenu l'attention de Paul Guiot ou d'Éric Dejaeger.

La théorie voudrait que l'on ne nous envoie pas de manuscrits, vu que nous ne sommes pas gallligrrrassseuil et consorts.La pratique est différente : on nous propose de plus en plus de manuscrits jamais demandés. Tout comme des nouvelles de cinq pages A4 d'auteurs qui se disent fans du Mic, les goncourtisables à venir. Dont j'ai imprimé les merdes que j'entasse dans des caisses, en cas de Nobel (héritage pour mes filles qui devront trier).

Le programme de publication pour les mi(ni)crobes est bouclé jusqu'en juillet 2013 avec Guillaume Siaudeau en juillet, Hélène Dassavray en août (qui pilotera le numéro 73), Frédérick Houdaer en novembre, Tom Nisse en mars 2013 et Patrice Maltaverne en juillet.

Merci de nous laisser souffler. Et ce sera la caisse qui décidera pour la suite des mi(ni)crobes.

Les éditions Microbes n'ont jamais mis un centime en poche en bientôt douze années de microédition. On réinvestit tout. Mais faut pas non plus nous gonfler. Faut respecter nos dérègles.

20:44 Publié dans Microbe | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

c'est vrai que je colle au-dessus -ou colle aux fans - f'ânes, mais ton message semble m'inclure dans ceux qui ne te laissent pas souffler , c'est pas possible! Mon Coco était sur commande, et jamais je n'ai envoyé d'autres manuscrits ou alors y 'a des faux marzu qui circulent ( alors eux faut les faire souffler!) Un comble alors que personne ( à part les amis) ne lit le vrai!

Écrit par : fabrice | 20/04/2012

Aucun problème avec toi, Fabrice.

Écrit par : Éric | 20/04/2012

Les commentaires sont fermés.