18/11/2013
Irréflexions (78)
Je vais aux mots comme d’autres vont aux putes.
Quand quelqu’un m’emmerde, je ne discute pas : je tire la chasse.
Mieux vaut un excommunié-non-non – même si cela sonne fort moche – qu’un béni-oui-oui.
– Tu es zen ?
– Non, bêtement bougies.
J’ai souvent envie de tout casser, mais encore la fainéantise de ne pas le faire.
06:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Écrit par : Marc Bonetto | 26/11/2013
Écrit par : Éric | 02/12/2013
Écrit par : Marc Bonetto | 02/12/2013
Le stade n'est pas intéressant comme cible. Avant de détruire les cons, ils faut détruire ceux qui les rendent cons.
Vu que nous sommes surveillés par les zuwèsses, parlons de destructions massives. On s'attaque à qui quand avec quoi ? Tu as toujours, Marco, des contacts avec les Tchétchènes ?
Écrit par : Éric | 05/12/2013
Les stades, on les détruit avec tous ceux qui s'y trouvent, foutebolleurs, supporterres et consorts. Si on cause destruction massive, inutile d'être nombreux. Parrain de la mafia mazargo-champsaurine, j'ai quatre séides qui valent à eux seuls cinquante bombes U : Dimitri et Dorothea, Mukélé, le Désentripailleur. Une équipe de chic, quoi !
Écrit par : Marc Bonetto | 05/12/2013
Écrit par : Éric | 08/12/2013
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