27/04/2018
Nouveautés chez Cactus
Le 3e Festival du Livre de Charleroi se tiendra les 5 et 6 mai Chez Raoul, comme d’hab.
À cette occasion, Cactus Inébranlable proposera trois nouveautés en première galactique.
MAIGROS SE MARIE par Éric Dejaeger. Épisodes 101 à 150, suite de la Saga Maigros parue en 2011.
4e de couverture :
Après la parution de La saga Maigros en 2011, Lauteur se sentait épuisé : rédiger cent épisodes tout au long desquels il s’était efforcé à ne rien faire faire à l’inspecteur le plus infâme de l’histoire du polar, ainsi qu’à sa cheffe et à ses alcoolytes, l’avait conduit au bord du burn out. Pour ne pas sombrer, il mit toute la bande aux oubliettes et partit, guilleret, vaquer à d’autres occupations moins salaces.
C’était sans compter avec les lobbyistes maigrossesques, parmi lesquels Léditeur en personne n’était pas le moins actif. Très vite, ils se mirent à le harceler, d’abord insidieusement puis de plus en plus (ou)vertement, pour exiger une suite. Lauteur, teigneux, tint bon quelques années, jusqu’à ce qu’il reçut des menaces de mort s’il ne sortait pas Désiré Prosper Richard et sa clique du placard. Il écrivit donc, contraint et forcé, cinquante nouveaux épisodes dans le même répugnant esprit que les précédents : tours de cochons, escroqueries, trempages de concombre, répugnanteries, tous les ingrédients y sont.
Lauteur espère que les fans seront satisfaits et qu’ils vont maintenant lui foutre une paix royale. (La Dive)
120 pages – 15 €
Un des cinquante exemplaires « collector » contenant un épisode autographe : 25 €.
LES COUREURS AVAIENT DE CES BOUILLES ! par Éric Dejaeger. Recueil d’irréflexions (2014 – 2015) entrecoupées de quelques études linguistiques suivies de À la mort-moi-l’nœud.
4e de couverture :
Si l’on devait faire l’exercice d’imaginer l’existence d’Éric Dejaeger à la lecture de ses irréflexions, on pourrait croire qu’il passe sa vie entre langueurs paresseuses (Je puise mon énergie dans le temps que je passe à ne rien faire), l’heure de l’apéro (Peux pas m’en empêcher : j’ai encore débauché une bouteille de vin...) et la gaudriole (J’aime quand elle a un haut et des bas). Et le temps qui reste, qu’il le consacre à se moquer de ses semblables (Lui, poète ? Je ne voudrais pas de ses vers pour aller à la pêche !) et à s’interroger sur des questions fondamentales (Et si Marcel Proust avait trempé son spéculoos au lieu de sa madeleine ?).
En effet, on pourrait l’imaginer ainsi.
Et l’on n’aurait pas tort. (JpéQ)
80 pages – 9 €
THÉORIE ET PRATIQUE DU HAÏKU RATÉ par Roger Lahu et Hozan Kebo, premier titre de la nouvelle collection poPoésie dont l’irresponsabilité a été confiée à Éric Dejaeger.
4e de couverture :
Qu’y a-t-il de plus barbant qu’un haïku francophone ? Un recueil de haïkus francophones, pardi ! Ce genre traditionnel sino-japonais a dû attirer les occidentaux par son apparente facilité. Or rien n’est plus difficile que de composer un haïku de qualité, qui est loin d’être n’importe quoi alors que c’est pratiquement toujours le cas dans nos contrées.
Les Tokyoïtes n’écrivent ni sonnets ni ballades, cela ne fait pas partie de leur culture. Alors, cessons de vouloir imiter la leur. Sauf... lorsqu’un grutier japonais à la retraite et un Français professeur de français s’associent pour rater sans vergogne et avec fierté tous les haïkus auxquels ils s’attaquent. Les compères Hozan Kebo et Roger Lahu, aidés par moult petits « ballons » de Mâcon-rouge, (« Le thé vert, ça fait juste pisser... » dixit HK), sont passés maîtres dans cet art.
Que les puristes crient au scandale, que les grincheux grinchent, nous, on se marre avec ces deux lascars haïkuclastes. (É. D.)
78 pages – 10 €
Je serai présent à Charleroi le 5 mai de 14 à 17h.
Vous pouvez aussi passer commande directement à l’éditeur : cactus.inebranlable@gmail.com
Pour un exemplaire dédicacé, contactez-moi : ericdejaeger@yahoo.fr
Le site de Cactus : http://cactusinebranlableeditions.e-monsite.com/
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LES (PETITS) ÉDITEURS INDÉPENDANTS !
06:00 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (11)
Commentaires
Écrit par : Joaquim | 28/04/2018
Écrit par : Éric | 29/04/2018
Parrain fait quand même le bi à l'auteur. Baveux.
Écrit par : Parrain | 02/06/2018
Écrit par : Éric | 02/06/2018
Re-bi de Parrain.
Écrit par : Parrain | 02/06/2018
Écrit par : Éric | 02/06/2018
T'as pas peur et t'as tort. Si t'as reçu des menaces de mort, c'est rien. C'est trop gentil. Parrain qu'est pas un gentil, il te dit que si t'écris pas la suite de Maigros, t'auras droit à des tortures qui te laisseront en vie, mais dans un fort sale état. Un petit aperçu ? Pour commencer, on te grille au briquet tout le revêtement pileux. Poil à poil. De temps en temps, histoire d'avarier, on remplace le brûlis par l'arrachage au détail ou en demi-gros. Ensuite, on t'extirpe les dents, les ongles des orteils, les orteils, on te trempe le bout du naze dans l'acide... Moi, les supplices, j'aime quand ça dure.
Tu commences par m'enlever le chapitre 50 bis. Querton, à qui je fais un bi, sera content.
Sinon, ton "Maigros se marie" m'a bien fait marrer. J'y reviendrai. On sent le mec (tézigue) qui vise pas le chef-d'oeuvre, qui aime bien se la couler douce, qui se prend pas pour ce qu'il est pas, contrairement à tant de pohêteux qui se la pètent grave. Tu comprends que ça m'emmerderait de faire pisser des glaires à un mec que j'aime bien d'autant plus que Parrain, le boulot, c'est pas non plus son truc. Alors, sois brave, ponds-nous un Maigros par an. Tu feras des heureux, même si tu t'en branles, et tu éviteras d'avaler des potirons sous forme de suppositoires. (C'est pas une image.) Laisse au gars Stas, un mec à la coule, les sornets, et attaque la suite de la saga. Mets un peu plus voire énormément de baisade, de sang et de merde. Fais dans l'encore plus dégueue, dans l'hénaurme, dans le sordidisme.
Parrain te fais le bi, à condition que tu boulonnes dès maintenant.
Écrit par : Parrain | 14/09/2018
Écrit par : Éric | 14/09/2018
En entendant le jour gloyreux de la parution du tome 3, je te fais le bi.
Parrain
Écrit par : Parrain | 14/09/2018
Re-bi.
Écrit par : Parrain | 14/09/2018
Écrit par : Éric | 15/09/2018
Les commentaires sont fermés.