13/08/2009
ENTREPRISE FAMILIALE
Ses sacs en peau de serpent étaient aussi rares que chers : il n’en produisait pas plus de cinq ou six par an, que de riches gourdes s’arrachaient à coups de dizaines de milliers d’euro lors de mémorables ventes aux enchères. Dans le privé, il avait épousé une véritable vipère et se consolait comme il pouvait avec ses mues.
09:17 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Excellent.
Écrit par : éric | 13/08/2009
Tu crois ? J'en ai pondu trois ou quatre nouveaux ce matin.
Écrit par : Éric | 13/08/2009
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