01/01/2010
TOUT FOUT L’CAMP…
L'eau de roche
est toute trouble.
Tripette
prend de plus en plus
de valeur.
Le guingois se tient
comme un I.
Les lurettes
sont devenues moches
à pousse-larigot.
L'anguille est sur la roche
et le pain sous la planche.
Le comble :
tout fout l'camp
a pris racine !
08:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Ah oui ! j'aime quand tu écris comme ça.
Écrit par : Anna de Sandre | 02/01/2010
Et autrement, pas ?
Écrit par : Éric | 02/01/2010
J'avoue que je ne comprends pas tout. :-)
Écrit par : éric | 03/01/2010
Aïeaïeaïe ! Je deviens hermétique...
Écrit par : Éric | 03/01/2010
J'adore.
Ca dépoussiérise les expressions toute faites.
Tiens, puisque tout fout le camp, les expressions sont toutes défaites, par ta faute, Eric ;-))
Écrit par : Thierry | 05/01/2010
Je déteste les expressions dites "figées". Ce qui est figé est mort et un langage, ça doit vivre.
Écrit par : Éric | 05/01/2010
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