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02/06/2010

La Belle-mère Dure

Le 15e numéro de La Belle-mère Dure est en ligne. On peut le lire et l'imprimer ici.

11:20 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (8)

Commentaires

Te voilà ministre donc! En Belgique, d'après la photo, ça n'a pas l'air d'être le cas, mais en France les ministres n'ont pas couilles. Ce qui ne les empêchent pas de nous casser les nôtre...

Écrit par : fabrice marzuolo | 03/06/2010

À tiers temps, Fabrice. Ici aussi, ils nous les cassent. Et de père en fils ! C'est devenu héréditaire. Et bientôt de droit divin !

Écrit par : Éric | 03/06/2010

Si tous les gars du monde qui ont les couilles brisées se donnaient la main...Ca donnerait des idées aux nanas, non? Elles deviendraitent l'avenir des hommes aux couilles cassées...Bon, je sens que je vais encore me ramasser un coup bas...

Écrit par : fabrice marzuolo | 03/06/2010

Fabrice, que craindre encore des coups bas si tu as les couilles brisées ?

Ma nana, la même depuis trente ans, ne me les a jamais cassées. On a de la chance. Par contre, pour le LOTO, que dalle.

Heureux aux jeux...

Écrit par : Éric | 03/06/2010

Avec les oeufs cassés on peut encore brûler l'omelette! Maintenant, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit...Les hommes n'ont pas besoin des femmes pour se briser les couilles, ils le font très bien sans elles. Pour les jeux (je ne joue pas alors mon opinion est à prendre avec des pincettes), je ne crois pas aux dictons: on peut très bien avoir de la chance aux jeux et en amour, comme n'avoir ni l'un ni l'autre. Essaye le LOLO, on ne sait jamais!

Écrit par : fabrice marzuolo | 03/06/2010

Avec des pincettes... Ton opinion...

Fabrichou, ouvre ton blog !

Écrit par : Éric | 03/06/2010

Les nouveaux outils


L’ancêtre du blog est le papier-tue-mouche

-Et toi, tu mouches ?
-Ca m’arrive.

Le Marcel Proust, qui est quand même le catalogue de référence de ceux qui ne veulent pas perdre leur temps, une mine inépuisable d’idées -est plus probablement le précurseur du blog . Sa secrétaire, Céleste Albaret , plus précisément. Elle avait inventé le mot « paperoles » et le système : des notes collées bout à bout, qui tend à ordonner un manuscrit… (Et le van passe)

Pour le livre électronique maintenant.

Des cocottes en électronique, des mouchoirs en électronique, des serviettes en électronique. S’endormir sur une revue électronique, que des avantages donc.
Pourtant, le livre électronique perd de son intérêt par rapport à la revue papier, quand on constate que parmi les réactions suscitées par les écrits des poètes, les deux principales sont la pluie d’éloges et le nuage de silence dans un univers de laid plutôt que beau : beau laid laid laid beau laid laid laid, etc
A ce stade, aucune différence pour le poète (pour le revuiste le problème est différent, plus sonnant que sonnet disons)
Par contre, s’il existait des poètes qui suscitassent ( voir le laid) des réactions un peu plus vives (imaginons-nous dans un univers moins intellectualisé, moins dressé, pas forcément plus con) et qu’il arrivât à ce poète des mails Scud ainsi formulés :
-Je déchire tous tes poèmes de m.
-Je me torche le cul avec des poèmes
-Je me mouche dans tes poèmes
-Je fais des boulettes avec tes poèmes
Ici, je laisse libre cours concernant toutes les gentillesses qui se conforment à des poèmes en papier …

Alors nous comprenons aussitôt tout le soulagement que peut tirer un tel poète de l’avènement des revues électroniques.

Écrit par : fabrice marzuolo | 06/06/2010

Ça se complique...

Écrit par : Éric | 07/06/2010

Les commentaires sont fermés.