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09/03/2012

C'est pas moi qui l'dis...

Bernard French-Keogh a lu La saga Maigros et voici ce qu'il en pense...

Mais revenons à la saga. J'avoue être resté un moment sans voix, dépassé par le choc : je ne te savais pas capable d'écrire de telles choses. Sur ce, la lecture fut plutôt agréable ; au bout de quelques épisodes, je me demandais jusqu'où tu pourrais aller dans l'abject et l'horreur, comment tu pourrais encore en ajouter.

Et j'étais surpris, tu surpassais mon imagination sans effort, tu arrivais encore à en ajouter dans le stupre et la fornication et autres joyeusetés. Obèse, sale, ivrogne, impudique, goinfre... Bérurier est largement dépassé par l'abomination du personnage.

Ce flic est en réalité un personnage profondément humain, il finit par être sympathique, et d'abord il n'arrête personne : une qualité qui se perd dans la police.

Tu as dû bien t'amuser en écrivant ce texte, j'imagine un peu comme Apollinaire écrivant les 11 000 verges (ou les amours d'un hospodar dit mon wiki).

Qui sait ce qui restera de ton œuvre dans 100 ans, mais ce texte est une gageure, et il faut le conserver au catalogue de tes œuvres complètes, c'est un must pour connaître Éric Dejaeger

Tu m'as étonné, et fait rire.

Bravo.

18:48 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)

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