31/12/2012
MERLIN LE FENDEUR
Pour Adela et Éric
Occupé à fendre
du bois
– du bon vieux prunier –
je pensais à
Charles Bronson dans
Les sept mercenaires
quand Yul
est arrivé au volant
d’un énorme 4-4.
Il m’a regardé
merliner pendant
deux minutes
est descendu
pour me proposer
un contrat à prendre
ou à laisser.
J’ai laissé.
Il n’avait pas daigné
soulever son chapeau
pour me saluer.
06:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Non seulement c'est un gros malpoli, mais il ne t'a même pas proposé de l'aide.
Écrit par : Marc Bonetto | 02/01/2013
Pas grave. Ils sont tous morts, à part Lee et le méchant Calvera.
Écrit par : Éric | 02/01/2013
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