09/10/2013
FAMILLE DINGO 8
SOUFFLÉ !
Vicieux comme
un clou rouillé
mononke Aignan
– celui de la toilette
à mouches –
adorait mettre la main
aux fesses des jeunettes.
Lors d’une réunion de famille
la cousine Oranne
qui avait un peu grandi
depuis la dernière fois
lui balança un aller-retour
digne d’un best of
de full-contact.
Le soufflet jeta un froid
sur les agapes
hormis les joues
du grand-oncle vicelard
qui durent le brûler
pas mal de temps
même si sa couperose
jouait bien son rôle
de camouflage
pour camouflet.
06:05 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Elle est gentille, cousine Oranne. Moi, je lui aurais planté le clou rouillé dans l'oeil ou dans les génitoires. Non ! Dans l'oeil gauche, dans l'oeil droit et dans génitoires, pour commencer.
Écrit par : Marc Bonetto | 09/10/2013
Elle n'avait ni clou ni marteau.
Écrit par : Éric | 10/10/2013
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