29/12/2013
Irréflexions (81)
Rimbaud : un fouteur de merde dans les deux sens du terme.
J’ai la formule de la jeunesse éternelle. Avant de la commercialiser, je cherche celle de l’immortalité.
Lors de mes lectures publiques, c’est moi qui fais le plein, jamais la salle.
J’ai un point commun avec Jim Harrison : le tabasco.
Le circoncis tache plus vite son caleçon.
06:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Si tu m'envoies la formule de la jeunesse éternulle, je suis preneur : elle fera toujours un peu de bien à mon corps cabossé, non ? En revanche, l'immortalité, tu te la gardes, "parce que c'est long, surtout vers la fin", pour citer Kafka.
Que Rimbaud foute la merde comme il le sent, je m'en fous, je préfère Baudelaire.
Le bi, cher homme, et bon bout d'an, avec ou sans boudin (blanc).
Écrit par : Marc Bonetto | 29/12/2013
Sur l'ennui de l'immortalité, lire "Légendes de la fin des temps" de Michael Moorcock.
Je préfère aussi Baudelaire à Rimbaud, y a pas photo, Marco.
Écrit par : Éric | 01/01/2014
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