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01/02/2014

Irréflexions (86)

Six pieds sous terre ! Encore un coup du dépeceur de Mons...

Ce vieux célibataire ronflait tellement fort que ses voisins l’avaient surnommé le vapeur nocturne.

Quand le con plisse, le vit rage.

Jadis écrivain à succès, il travaille aujourd’hui en Suisse comme garçon de café. Levy sert à Sion.

Je ne cherche pas à me faire des couilles en or : mon épouse les trouve très bien comme elles sont.

Commentaires

Les couilles en or, c'est pesant, elles défont, elles défoncent les sous-vêtements, au bout de quelques mois elles traînent sur le sol et, pour finir, il faut les amputer.

Dr Bonetto, chirurgien-bijoutier.

Écrit par : Marc Bonetto | 01/02/2014

On reconnait l'homme d'expérience !

Écrit par : Éric | 03/02/2014

Dans ma verte jeunesse, j'ai exercé à Camaret-sur-Mer où je fis les quatre cents coups avec le desservant de la paroisse, un sacré bonhomme, comme tu t'en doutes.

Docteur Bonetto, chirurgien assermenté auprès du saint siège.

Écrit par : Marc Bonetto | 04/02/2014

Les couilles en or rentraient dans le tronc de sainte Testicule ?

Écrit par : Éric | 06/02/2014

Si elles y entrâtes, ce fut après mon départ pour Lourdes (où je ne restai pas, à cause du climat trop humide).

Écrit par : Marc Bonetto | 09/02/2014

Je te comprends, pour Lourdes (comme les couilles en or), mais quelle idée de vouloir aller là-bas ! J'ai celle, très ancienne, de ne jamais y mettre les pieds de mon vivant.

Écrit par : Éric | 10/02/2014

La curiosité, mon bon. Un confrère m'avait signalé le cas multi-pathologique d'un zigue qui, souffrant d'une enflure récidivante du gros orteil, se baigna dans la fameuse piscine. Il en ressortit avec la vérole, des crêtes-de-coq, la castapiane et une foultitude d'affections cutanéo-muqueuses. Un cas superbe. Quand j'arrivai, le boulgre n'était pas frais et il me confessa que, la veille du grand plongeon, il avait un peu trop arrosé l'événement avec des prêtres, des curés, des nonnettes et des nonnains. On appelle ça "le baiser aux lépreux". Un traitement de choc et le gaillard fut sur pied. L'eau de la piscine contamina bien des pèlerins, mais j'avais vu, vaincu et déjà repartu.

Écrit par : Marc Bonetto | 10/02/2014

Ça ne me donne pas plus envie d'aller là-bas, Marco.

Écrit par : Éric | 14/02/2014

Lourdes n'est pas classée Seveso, mais ça viendra.

Écrit par : Marc Bonetto | 14/02/2014

Je te parie qu'ils ont des armes de destruction massive.

Écrit par : Éric | 14/02/2014

Ils en ont une : l'eau Soubirou, pire qu'un tord-boyaux des steppes mongoles. Un seul godet anéantit une horde de Tatars.

Écrit par : Marc Bonetto | 14/02/2014

Cette eau-là, c'est de l’ersatz : la Bernadette, elle se patronymait Soubirous.

Écrit par : Éric | 14/02/2014

Ta raison, gary, l'eau de Lourdes ne vaudra jamais l'eau lourde. Tiens, connais-tu Evian, l'eau des Vian ?

Écrit par : Marc Bonetto | 15/02/2014

Tu sais, Marco, moi, l'eau, c'est pas ma spécialité.

Écrit par : Éric | 16/02/2014

C'est drôle, je te voyais bien en adepte d'un nouveau panachage ! Chimay bleue aromatisée au San Pellegrino.

Écrit par : Marc Bonetto | 16/02/2014

Oh le crime ! La CB, ça se boit sans ajout ou ça ne se boit pas ! Il n'y a que Maigros et consorts pour la mélanger à n'importe quoi. Voir l'épisode 100 de la Saga.

Écrit par : Éric | 17/02/2014

J'essaierai, en hommage au dit vin Maigros.

Écrit par : Marc Bonetto | 17/02/2014

Tu risques l'échafaud !

Écrit par : Éric | 17/02/2014

Il y a à Bruxelles, dans une galerie, un troquet où l'on sert une telle mixture. Nous en boirons quelques gorgées, avant de partir s'encanailler aux abords de la gare.

Écrit par : Marc Bonetto | 17/02/2014

Dis-m'en plus, mon bon Marco... Quelle galerie ? Quel troquet ?? Quelle gare ???

Écrit par : Éric | 18/02/2014

J'ai oublié le nom du bistrot. La galerie, elle ressemble à certains passages parisiens, mais en plus populeux, et la gare, elle pointe vers le nord. Bon, si tu veux punir ce crime de lèse-Chimay, vas-y sans moi, ou alors on fait sauter l'espèce de grosse bâtisse informe qui doit servir de cathédrale. Donnant-donnant.

Écrit par : Marc Bonetto | 19/02/2014

Les environs de la gare du Nord, je ne connais absolument pas, mais je sais que l'un des quartiers les plus chauds de Bruxelles n'est pas loin. Peux-tu m'en dire plus avec googlemap ? Avec la grosse bâtisse infâme, STP m'colau.

Écrit par : Éric | 19/02/2014

Il me semble que c'est la rue d'Aerschot, mais impossible de retrouver l'infamie ecclésiastique. Un moment, j'ai pensé à Saints Michel et Gudule. Mais non ! En regardant des photos, elle vaut le détour. Bon, cela dit, entre la myopie et la fatigue qui suit les longues déambulations, j'ai sans doute mal vu.

Écrit par : Marc Bonetto | 22/02/2014

Rue d'Aerschot, c'est bien ça : la rue aux bordels. Sts M et G, c'est en plein centre.

Écrit par : Éric | 22/02/2014

En plein centre, mais avec pas grand-chose autour ?
Bon sang ! La première foi que j'ai vu Bruxelles, ça m'a rappelé Marseille : le même foutoir, le même urbanisme calamiteux, la mer et les calanques en moins ; les galeries, quelques beaux endroits et un musée des Beaux-Arts se damner. Bon, il y a quand même un gardien qui m'avait à l'oeil et qui me demandait sans cesse de reculer devant le Jérôme Bosch. Il avait certainement peur que je l'use son chef d'oeuvre.

Écrit par : Marc Bonetto | 22/02/2014

Un mot a été inventé pour désigner le saccage d'une ville question urbanisme : bruxellisation. Faudra que tu me fasses visiter ma capitale à l'occasion, Marco : tu sembles la connaître bien mieux que moi.

Écrit par : Éric | 23/02/2014

T'es pas un amoureux de cartes et d'estampes ? On voyage agréablement sur une carte. Dans la réalité aussi.

Écrit par : Marc Bonetto | 24/02/2014

Je voyage plutôt dans les livres.

Écrit par : Éric | 04/03/2014

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