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09/02/2014

Conte TGV - LA FIN DU PROBLÈME

Le volubile finit par s’écrouler, percé par les six lances du taiseux.

Commentaires

Le volubile n'a rien vu venir ? Comme à Hiroshima, mon beau'. Rien.

Écrit par : Marc Bonetto | 09/02/2014

Comme quand plus personne n'ira voter.

Écrit par : Éric | 09/02/2014

Subtile allusion à Graham Greene, bel ohm, même si je ne t'imaginais pas amateur de ses romans.


(J'aime bien le volubilis, mais je préfère le liseron, parce qu'il est toujours bourré.)

Écrit par : Marc Bonetto | 13/02/2014

C'est qui, ce Gégé ?

Écrit par : Éric | 14/02/2014

Celui qui rendit ses lettres de noblesse au coucou suisse. (Rien à voir avec ton copain qui bosse à Sion.)

Écrit par : Marc Bonetto | 15/02/2014

Il tirait sur les coucous à l'arbalète ?

Écrit par : Éric | 16/02/2014

Au bazooka et il les finissait au chalumeau.

Écrit par : Marc Bonetto | 16/02/2014

Le coucou bazooké fini au chalumeau, ça doit être un peu sec. Il il doit falloir une bonne sauce pour l'accompagner. Enfin, moi, la nouvelle cuisine, c'est pas trop mon truc.

Écrit par : Éric | 17/02/2014

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