01/04/2014
LE POUVOIR DES YEUX DU NOMBRIL
Le poète
parle de lui.
De ce qu’il voit
autour de lui.
Le poète
n’a plus que
deux yeux
et un nombril.
Son cerveau
est vide.
Il n’a plus
d’imagination.
Il ne sait plus
– l’a-t-il jamais
su ? –
que Je
est un autre.
06:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Et ce n'est pas un poisson d'Avril.
Écrit par : sauge | 01/04/2014
Merci d'être passé.
Écrit par : Éric | 01/04/2014
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