05/10/2015
Irréflexions (126)
Quand il entend la chanson « L’important, c’est la prose l’important... », le powète est pris de nausées.
Le powète est habité ! Mais par qui ? Un squatter ?
La seule limite du powète est l’alexandrin, quand il connaît les règles de la métrique.
Quand dans un e-mail un illustre inconnu se présente à moi comme powète, je relis Les Fleurs du mal.
Dans la basse-cour aux powètes, le dindon se prend pour un cygne.
< Le violon pisse derechef sur son powète
(projet en cours d’écriture)
06:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Bah, le powète est un pauv'être.
Écrit par : Laurent | 05/10/2015
Et tant d'autres choses... Merci d'être passé.
Écrit par : Éric | 05/10/2015
Baden powète comptait jusqu’à 12 avant de se tirer un scout. Sa première victime s’appelait Alex, on avait dû lui poser un drain. Mais depuis, il s’en est sorti -oh ! oui et Alex, sans drain dans la vie, va comme un bout en train.
Écrit par : fabrice | 06/10/2015
Il y a du Hamster Jovial dans cela...
Écrit par : Éric | 07/10/2015
Ca se mange, le dindon, non ? C'est, paraît-il, un peu sec, mais un powète, en sauce avec des légumes, ça doit valoir le coup de fourchette.
Écrit par : Marc Bonetto | 08/10/2015
Le dindon demande une bonne farce.
Écrit par : Éric | 10/10/2015
Les commentaires sont fermés.