09/01/2020
Irréflexions (285)
Vivons dangereusement : prenons le taureau par les couilles !
Quand le vent tourne, ça pue tout azimut.
Aucune révolution ne se fera via Tronchakon. Ce n’est pas un cul vissé devant un écran qui fera bouger quoi que ce soit.
Le soir qui n’aura pas de nuit ne pourra être que le Grand Soir.
05:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Et allez ! Et allez ! On peut pas les laisser tranquilles, ces pauvres taureaux ? Tout est bon pour les leur briser.
Écrit par : Marc Bonetto | 09/01/2020
Il ne s'agit pas de les leur briser, Marco, juste de les prendre.
Écrit par : Éric | 09/01/2020
D'accord, mon bô, mais le taureau n'a pas forcément envie qu'on le prenne pas les couilles. A mon (humble) avis, il veut juste brouter tranquillou.
Le bi.
Ton Sud-Vioquistanais.
Écrit par : Marc Bonetto | 10/01/2020
Si je comprends bien, il veut brouter sans qu'on le broute.
Écrit par : Éric | 10/01/2020
Les taureaux aiment peut-être qu'on les broute, les tète ou les caresse. J'en sais rien, je m'en fous, ils n'ont pas besoin de nous pour prendre leur sabot.
Écrit par : Marc Bonetto | 14/01/2020
D'accord, on les prendra avec des pincettes.
Écrit par : Éric | 14/01/2020
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