22/04/2022
ADAM ET ÈVE MITIGÉS
Adam a câliné le sexe rose d’Ève. La nana rigola, la cerise humide. Le mec éleva sa banane, visita l’orifice.
— Tu me ravis ! Une pipe, mec ?
— O.K. !
Ève suça la bite d’Adam, avala le suc. Olé !
Fut Ève malade ? Le luron adora-t-il ? À délibérer.
(Petite histoire écrite en respectant la contrainte de l’alternance voyelle/consonne.)
05:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (20)
Commentaires
Rassure-moi : Eve n'était pas complètement épilée ? Et l'Adam, il a mis sa tête entre les cuisses de sa belle ?
Le bi, mon bô.
Écrit par : Marc Bonetto | 22/04/2022
Écrit par : Éric | 25/04/2022
Écrit par : Marc Bonetto | 22/04/2022
Écrit par : Éric | 25/04/2022
Vieille curle à tromblons, c'est Parrain qui te cause. Récure à la soude caustique tes esgourdes emmiellées et écoute bien. Parrain, il répète jamais deux fois. T'as quinze jours pour rappliquer à Charleroi avec ta bande de morves molles et te présenter devant l'auteur. Il tirera la gueule, mais c'est pour le bien de l'éventuel futur lecteur. Dans deux semaines, si t'es pas de retour, Parrain et ses séides, il te retrouve, il te fait la fête au chalumeau et au noeunoeu et te ramène par les lambeaux d'hypoderme fessier. Tu maudiras les osses de la race dont tu es le rejeton remuglant. Ca vaut pour toi, les susmentionnés et les autres, à commencer par Moustiché.
Écrit par : Parrain | 25/04/2022
— Alors, Maigros, c’est pour quand, ce mariage ?
— Sé pas trop, Cheffe. On n’a pas ’core eu l’temps de r’tourner à l’commun’ mais faudra pas qu’ça prend trop d’temps paske ça m’coûte un max pou’ l’moment.
— Ah bon ?
— Wé. Snot, l’a donné son r’non pou’ s’n’appartement vu qu’on allait vêf’ ensemp’. Du coup, l’a prè n’champ’ à l’hôtel Èbès au quai Verlaine et c’est mwè que j’paye vu qu’c’est mwè l’faute. Heureus’ment, l’gérant m’fait 50%.
— Comment ça ?
— Ben, j’lwè dè que j’ferm’rais les yeux sur ses actèvètés pas nettes.
— Quelles activités ?
— J’en sé r’en, mwè. Mais lwè, è doit savoir vu qu’èl a dè oké ellèco. Un p’tè coup d’bèt’ vèt’ fé su’l’pouce, Cheffe ?
— Pas aujourd’hui, Maigros, c’est ma mauvaise période.
— J’ai jamé eu peur du sang.
— Arrête, it’s disgusting!
— Quand qu’ça arrivait avec môman Ginette, ell’ me f’sait n’pèpe après pou’ m’nettoyer et m’fair’ cor’ venir.
— Yuk! T’es vraiment immonde ! Bon, je t’ai pas appelé pour parler chiffons. Un lieutenant de Lulu-la-Vinaigrette est venu me trouver.
— Kèski nous veut, Pécu ?
— Tu sais que depuis la disparition du Triangle à cause de la construction du complexe Rive Gauche, la prostitution, les bordels et les tripots ont essaimé dans toute la ville, même en périphérie, ce qui rend notre surveillance plus difficile.
— J’ai jamé beaucoup sourveillé, plutôt maté.
— Je sais. Pécu a loué deux pièces au-dessus de Chez Maurice. Il compte y installer deux filles qui tapineront dans le bouge.
— Ça va faire du tort à la mère Vîstron, ça ! Et l’enculé d’Nolan, è va en chier des aguièlles à trècoter.
— I don’t give a crap . Pécu veut savoir combien on demande par mois pour fermer les yeux. Une idée ?
— Ben... 300t€ pour twè, 300 pour mwè et 100z€ pou’ m’n’équèpe. Poireau, Cageoque, Irah, Snot, Giciel... 500t€. En tout ça fait... Euh...
— 1100€. Pas sûre que Consuelo accepte.
— On prendra ses 100z€ pour nous.
— OK. J’envoie un SMS à Pécu que tu arrives pour négocier.
* * *
— Voilà, m’sieur di Fabrechia, pou’ l’fermâch’ d’yeux, et ça fait kèkzuns avec mon équèpe, faut compter 2000z€ par mois.
— Comme vous y allez, inspecteur ! Moi, c’est Lulu-la-Vinaigrette, pas Crésus ! Disons 1200€.
— 1800 !
— 1500, c’est mon dernier mot.
— D’accord.
— Topez-la ! Vous serez seul habilité à venir chercher la somme en liquide chaque 1er du mois.
* * *
— Marché conclu, Cheffe ! J’ai même eu un p’tè peu plus : 1200t€. Et j’sus seul habèté... halèbèté... à encaisser.
— Habilité, d’accord. Bravo, mon gros, beau travail !
— Un p’tè 69 pou’ m’récompenser ?
— Je t’ai dit tout à l’heure que...
— Je m’sens comme un vampère en manque, là !
— Bon, d’accord. J’espère que tu as de quoi te brosser les dents après.
— Pas l’peine, Cheffe : un bon gagarisme ou deux au Négrèta et on n’dè parl’ p’us.
— T’es vraiment répugnant ! Allez, en vitesse, j’ai du boulot.
« Mwè, pas ! » pense l’ignoble en se préparant à déguster.
Satisfait, cher Parrain ?
Écrit par : Éric | 26/04/2022
Ton Sud-Vioquistanais.
Écrit par : Marc Bonetto | 26/04/2022
Écrit par : Éric | 27/04/2022
Je te tape le bi, comme dit Bougnette. (Du côté des calanques, une bougnette, c'est une p'tite tache.)
Écrit par : Parrain | 27/04/2022
Écrit par : Éric | 27/04/2022
Ici, on t'adore tous, surtout Mukélé, et on te tape le bi, sauf Mukélé qui te fait un gros câlin ou plus, si affinités.
Écrit par : Parrain | 27/04/2022
Écrit par : Éric | 28/04/2022
Parrain te tape le bi, en tout bien tout honneur.
Écrit par : Parrain | 28/04/2022
Écrit par : Éric | 28/04/2022
Parrain te tape quand même le bi.
Écrit par : Parrain | 29/04/2022
Écrit par : Éric | 30/04/2022
Écrit par : Bella | 25/05/2022
Écrit par : Éric | 25/05/2022
Écrit par : Bella | 25/05/2022
Écrit par : Éric | 25/05/2022
Les commentaires sont fermés.