Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/05/2024

LE PRIX DE L'ÉNERGIE

Par souci d’économie, le passage reliant la vie terrestre à la suivante n’est plus éclairé : il faut y avancer à tâtons, au risque de se couvrir de plaies et de bosses avant d’atteindre l’au-delà.

Commentaires

A peine est on né, tétons nous. Plus tard faute de néon, niant néant sans hâte tâtons-nous.

Écrit par : kinkel | 17/05/2024

Répondre à ce commentaire

Du moment qu'on ne tâte pas de Julie Taton...

Écrit par : Éric | 20/05/2024

Si tu savais comme je m'en branle, mon bô. Mort, je ne serai plus. Pouf ! Je choisis le néant, le rien. Une vie, c'est beaucoup trop long, laissons aux masos toutes les vies qu'ils veulent, y compris l'éternelle.

Le bi.

Ton vieux qui va se galavarder de chantilly aux gariguettes. (En attendant la fin, baisons, bouffons, buvons, rigolons, donnons de la joie et acceptons les rares moments pas dégueu.)

Écrit par : Marc Bonetto | 30/05/2024

Répondre à ce commentaire

Écrire un commentaire