31/08/2024
La route est longue...
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28/08/2024
Distiques potaches (11)
C’est dans les bals en jouant de l’harmonica
Qu’elle se faisait beaucoup de lard, Monica.
***
L’Odyssée, n’est-ce pas qu’Ulysse et Pénélope ?
On peut la résumer : cul lisse et peinée lope.
05:00 Publié dans Potacheries | Lien permanent | Commentaires (0)
25/08/2024
Un peu de pub (585)
MICRO-DRAMES
par Lucas Mommer
Il n’aura fallu à l’auteur qu’un peu plus de deux cents idées pour boucler ce recueil. Qu’en pensent les accros au roman ? Ces 202 contes très courts débordent d’imagination et de surprises. Délectable ! Les amateurs du genre vont se régaler.
Un extrait ici.
Cactus Inébranlable éditions (microcactus #22 – 2024)
110 pages
10 €
Un petit peu plus sur l’auteur
Le site de l’éditeur
N’HÉSITEZ PAS
– PLUS QUE JAMAIS –
À SOUTENIR
LES (PETITS) ÉDITEURS INDÉPENDANTS !
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22/08/2024
AUTOPORTRAIT
SELF-PORTRAIT IN PINK
JOHN GRIFFIN
(aka INVISIBLE MAN)
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19/08/2024
Irréflexions (450)
Naître rien et le rester.
Imposer un cours de branlette dans les grands séminaires.
Au marathon annuel de la police, les derniers arrivés sont les bourres de la course.
Les derniers confessionnaux en activité doivent puer le stupre.
Pour être aussi con à trente ans, il a dû commencer son apprentissage dès la naissance.
05:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (2)
16/08/2024
Distiques potaches (10)
Dans un gîte, sur une table en formica,
Pendant toute une nuit Enguerrand forniqua.
***
Dévêtis-toi, ma si belle sexagénaire,
Pour éviter que longtemps mon sexe âgé n’erre.
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13/08/2024
LA DÉSILLUSION
Après quelques tentatives qui furent autant de fiascos, la femme invisible estima qu’elle n’avait aucun avenir dans le strip-tease.
05:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (2)
10/08/2024
Sur un collage de Phil Lemaire (5)
LES QUATRE ÉLÉMENTS
Enfant, je rêvais d’apprendre le clavecin
Mais je suis devenu joueur de banjoline.
Claustré dans une tour en haut d’une colline,
Je m’emmerde à mourir comme un buveur sans vin.
Pour pouvoir expliquer le système sanguin,
On m’a écorché vif et changé en sanguine.
Mon rêve, c’était punk à chien. Ou coq. Ou fouine.
Je me suis fait avoir par un fieffé faquin.
Je suis un oiseau dont le nom à tous échappe,
Bientôt fini car mes œufs passent à la trappe :
Un grand chef étoilé s’en sert pour un soufflé.
Lors de sa projection au festival de Cannes,
Je suis tombée d’un film quand il s’est déchiré.
Quand je vais me lever, il me faudra deux cannes.
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07/08/2024
Irréflexions (449)
Face à l’appareil photo, tout romancier prend la prause.
« Les extrêmes n’ont rien de bon », dit la sagesse populaire. Je préfère tout de même la ventrée à l’ascétisme.
Celles et ceux qui croient en un dieu sont comme des enfants qui croiraient toute leur vie au père Noël.
Au Brésil, qui fera danser le be-bop à Lula ?
Confucius, et tant d’autres après lui.
09:38 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (0)
04/08/2024
Distiques potaches (9)
Depuis qu’il était sevré des barbituriques,
Tous les soirs il traînait dans les bars, bitu, Rick.
***
Janis nous reçut dans ses pièces troglodytes,
Nous montra ses tableaux. « N’est-ce pas trop glo*, dites ? »
(* (day-)glo : peinture phosphorescente très en vogue jadis chez les hippies.)
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01/08/2024
LE FRILEUX
Il faisait très froid ce matin-là. Avant de sortir pour aller acheter des croissants, l’homme invisible jeta sur ses épaules sa cape d’invisibilité.
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