04/09/2024
OÙ VA NOTRE ARGENT ?
Après plusieurs années d’investigations financées par le Ministère de la Recherche scientifique, cet éminent biologiste arriva à la conclusion que l’espérance de vie était très courte chez les bousiers coprophobes.
05:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Merde ! les pauvres... :(
Écrit par : Bella | 04/09/2024
Répondre à ce commentaireOui, ils sont vraiment à plaindre. D'autant plus que, d'après cet éminent biologiste, cette maladie est incurable...
Écrit par : Éric | 04/09/2024
J'ai beaucoup d'admiration pour le bousier sacré, celui qui représente le soleil levant chez les anciens Egyptiens. C'est un putain de bosseur, contrairement à mézigue. Rien n'arrête le vaillant. Camus a peut-être pensé à lui en terminant son essai par "Il faut imaginer Sisyphe heureux."
Les coprophobes, soit ne sont pas de vrais bousiers, soit sont de vils, forcément vils, imposteurs.
Écrit par : Marc Bonetto | 04/09/2024
Répondre à ce commentaireLes bousiers coprophobes sont à la littérature ce que Sisyphe est au monte-charge.
Écrit par : Éric | 06/09/2024
Si j'ai bien compris (pas sûr), ce sont de gros pédés de leur race maudite, apparentés au popowète, même s'ils s'enculent pas ?
Le bi.
Écrit par : Marc Bonetto | 06/09/2024
Répondre à ce commentaireIls sont tout ce que le lecteur peut imaginer, Marco.
Écrit par : Éric | 06/09/2024
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