06/11/2024
Coincoin is back...
Pour sa première réunion dans le bureau ovale avec ses proches conseillers en janvier 2025, Coincoin a prévu de passer une playlist de 65 minutes et 17 secondes, avec de nouveaux pas de danse. Les titres dont elle sera composée (tous en anglais, la seule langue qu'il comprenne un peu) resteront secrets jusqu'à sa diffusion. Les paris sont ouverts.
Je propose "The Road to Hell part II" de Chris Rea mais pas certain que le chanteur soit d'accord.
À vous ?
12:56 Publié dans Potacheries | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Moun bèû,
Trop nul en anglais, je n'ai trouvé que des trucs simplissimes, dont deux idioties (?) : "Bad" et Thriller", de Mickael Jacquesonne, et "The end". En lisant une traduction de la chanson des "Doors", je me suis demandé si ça correspondait à la liste de Coincon. A toi de voir. S'il te plaît, ne lui cause pas de mézigue, il est capable de me filer une médaille. J'ai horreur des breloques, d'autant plus si c'est un enculé qui l'offre, et George, l'ami américain, se foutrait non sans amertume de mézigue.
Pas certain que ça aurait plu à Jim Morrisson.
Le bi.
Ton.
Écrit par : Marc Bonetto | 07/11/2024
Répondre à ce commentaireLe contenu ne compte pas, Marco : Coincoin adore Y.M.C.A. de Village People, hymne gay...
- The End of the World de Skeeter Davis.
- Welcome to my Nightmare d'Alice Cooper
Écrit par : Éric | 13/11/2024
Y.M.C.A., merdre ! je croyais que c'était l'hymne des auberges de jeunesse pour hommes...
Écrit par : Marc Bonetto | 14/11/2024
Répondre à ce commentaireAbsolument. Il est vrai que l'on ne sait pas ce qu'il se passe dans les auberges pour hommes chrétiens sans y avoir mis les pieds.
Écrit par : Éric | 14/11/2024
Salut les nanamecs !
Dans mes verts ans, y compris entre deux missions légionnaires ou virées mercenaires, j'ai fréquenté les auberges de jeunesse, les vrais, les mixtes, pas les Y.M.C.A. et Y.W.C.A. Bordel, ça partouzait du matin au soir ! Encore plus du soir au matin. Bon, si tu fais pas gaffe à tes affaires, on te taxe tout. Pour pas m'emmerder à tout cacher ou à jouer les Cherloques, le premier soir, je plaquait contre le mur le plus balèzes des mectons. Tout le monde comprenait, y compris les gonzesses qui traînaient pas dans le coin.
A la revoyure, mon Rico.
The bi, avec ou sans la mouche.
Écrit par : Le Désentripailleur | 14/11/2024
Répondre à ce commentaireOn n'en aurait pas attendu moins de vous, cher Désentripailleur.
Écrit par : Éric | 15/11/2024
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