16/09/2009
INDIGENTS DE DUBLIN (2)
- Je n'ai jamais vu autant
de parapluies cassés
sur les trottoirs,
me dit Coco.
Quand vous visiterez Dublin
ayez une pensée
en arpentant ses rues
pour tous ces pauvres parapluies
abandonnés par
leurs mécréants propriétaires
et morts
sans sépultures.
Extrait de Indigents de Dublin (recueil instantané).
Épuisé.
09:01 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Et puis le cri d'une baleine de parapluie, c'est déchirant !
Écrit par : Anna de Sandre | 16/09/2009
C'est presque le cri qui tue !
Et belle trouvaille !
Écrit par : Éric | 17/09/2009
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