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15/10/2009

AVIS DE RECHERCHE

Où est passé l'anthropophage qui faisait la grève de la faim pour que l'on reconnaisse son droit à la différence ?

Commentaires

Un de ses potes l'a boulotté.

Écrit par : Marc Bonetto | 16/10/2009

Je conçois autrement sa disparition...

Écrit par : Éric | 16/10/2009

Il est passé chez l'haine mie !
(ok, je sors...)
:-)

Écrit par : co errante | 16/10/2009

Même pas. T'as plus qu'à revenir.

Écrit par : Éric | 16/10/2009

Pour que je donne ma langue au chat ? Ben non !

Écrit par : co errante | 17/10/2009

Je ne suis pas un chat et, en plus, la langue est l'une des très rares choses que je refuse de manger. Je préfère de loin les rognons. De porc, si possible.

Écrit par : Éric | 18/10/2009

Pas "un" mais "une" anthropophage, je suis le pote suscité et elle est dans mon estomac.
Le génial Gainsbourg l'avais compris lorsqu'il chantait : "Tu aimes ta nounou, / Tu aimes les cachous, les noix de cajou." L'amour vrai (rarissime) s'accompagne immanquablement du désir d'ingérer l'autre. Ainsi, nous nous aimions tels des mantes religieuses (plus mantes que religieuses), et nous commençâmes à nous dévorer. Moins gloutonne, la très chère n'eut que mon gros orteil droit, une oneille et la jambe gauche. Marronner, pétoncles à la sauce andalouse ! Marronner bien ! Un amour comme le nôtre est un don célestiel pétri dans les tumultes de la chair.
Foin de lyrisme, midi sonne, le repas m'appelle.

Écrit par : Marc Bonetto | 18/10/2009

Non, Marc, il s'agissait bien d'un anthropophage. L'un des derniers.

Midi, le repas ? À quelle heure prends-tu l'apéro ?

Écrit par : Éric | 18/10/2009

L'apéro ? Rarement et toujours herbeux. Il n'y a donc pas d'heure pour se gazer gentil. Cependant, au petit déjeuner, dieu que c'est bon !

Écrit par : Marc Bonetto | 19/10/2009

Peux pas te dire. Je me limite au tabac.

Écrit par : Éric | 20/10/2009

Les commentaires sont fermés.