11/11/2009
LA PORTE DES RÊVES
La sonnette
de la porte des rêves
est détraquée.
Pour que l'on ouvre,
il faut tambouriner,
tambouriner
tant et plus.
Mais tout le monde
dort profondément
de l'autre côté.
Sauf un infâme cauchemar
très mal élevé
qui n'en a rien à cirer
des visiteurs oniriques.
13:19 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Au lieu de tambouriner, faudrait peut-être la défoncer cette porte. Le cauchemar mal embouché risque de sauter à la figure, mais l'arme de l'éveil le fera fuir en poussant des cris d'orfraies aux abois.
Écrit par : Marc Bonetto | 11/11/2009
Ça pousse quoi comme cri, une orfraie aux abois ?
Écrit par : Éric | 11/11/2009
Ben y'a pluka mourir, quoi. Ou à pousser des cris de la mort ?
Écrit par : co errante | 11/11/2009
Elle pousse quoi comme cri, la mort ? Tu aurais un enregistrement mp3 ?
Écrit par : Éric | 11/11/2009
Les cauchemars ont la nuit dure!
Écrit par : éric | 11/11/2009
Ah ! Il y en a des costauds !
Écrit par : Éric | 11/11/2009
C'est un peu comme le cri de l'effroi aux yeux de braise écarquillés.
Écrit par : Marc Bonetto | 11/11/2009
Ok, j'entends ! Ça glace les sangs !
Écrit par : Éric | 11/11/2009
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