14/10/2010
CUBITAINER ET OBSTÉTRIQUE
Quand j’ouvre un nouveau cubi,
que j’enfonce deux doigts
- l’index et le majeur -
dans le trou
et fourrage
dans la masse molle
à la recherche du robinet,
j’ai l’impression
d’être un gynécologue
dégueulasse
qui travaille
sans gants.
08:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
J'aurais vu ça autrement, de façon plus hédoniste, mais il est vrai que je fraye pas avec le cubitainer, ni avec Préfontaine ou la villageoise Margnat. Mais chacun son ressenti, dear Rico.
Écrit par : Marc Bonetto | 14/10/2010
Lecteur bénévole, sois charitable, ajoute un S à "cubitainer". Dieu te le rendra au centuple.
Écrit par : Marc Bonetto | 14/10/2010
Voilà, c'est fait, si ce n'est que j'ai ôté le S à "les" : faut les attaquer un à la fois, à ces parallélépipèdes, Marco ! Un de rouge et un de rosé, s'entend !
Écrit par : Éric | 14/10/2010
ah chose vue & vécue ! et quand au terme de cet accouchement tu sors enfin la petite bistrouquette tu as de la peine à dissimuler ta joie : "ah chouette encore un mâle!" et vite vite tu appuies sur le petit "robinet" pour apaiser la soif légitime que te cause cette émotion .
Écrit par : hozan kebo | 14/10/2010
Il me semble avoir lu très récemment sur ce blog que tu n'y poserais pas tes précieux vieux yeux aujourd'hui... Je suppose que ton nez a dû respirer un petit parfum de rouge... Sacré grutier, va !
(Fais gaffe à ce que tu écris : les chasseurs de pédophiles surveillent ce blog ! Alors, évite les mots ou expressions de DESTRUCTION MASSIVE comme "bistrouquette", "encore un mâle" , "tu appuies sur le petit robinet", etc. ILS VONT REMONTER JUSQU'À TOI !
Écrit par : Éric | 14/10/2010
Cubi or not cubi ? La question ne se pose pas !
Écrit par : Morgan Riet | 23/10/2010
D'accord, y a pas photo.
Écrit par : Éric | 23/10/2010
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