15/04/2016
PAS LE CHOIX...
Les gaz lacrymogènes n’avaient aucun effet sur les émeutiers : ceux-ci avaient depuis longtemps pleuré toutes les larmes de leurs corps sur leurs frères et sœurs assassinés par le régime. La milice dictatoriale dû donc se résoudre à utiliser des balles en caoutchouc, puis des balles réelles.
06:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Pas de balles explosives qui mettent un peu couleurs sur les murs et les trottoirs de la ville ? Ces miliciens, ils manquent cruellement de goût.
Écrit par : Marc Bonetto | 15/04/2016
Tu es très difficile à satisfaire, Marco.
Écrit par : Éric | 15/04/2016
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