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26/05/2016

Irréflexions (141)

Tant que les ânes mangeront du son et de l’image, ils resteront bâtés.

Ave Maria, ora pro nos bites.

Épargner pour mes vieux jours ? Quels vieux jours ?

Le 1er mai, c'est sacré : je n'en fous pas une (à part mon épouse).

Une tartine sans beurre ou des frites sans sel, c’est comme une pipe sans lèvres.

Commentaires

Et les trois cent soixante-quatre (ou cinq) autres jours, qu'est-ce que tu fous, et qui ?

Écrit par : Marc Bonetto | 26/05/2016

Je m'en fous, ce qui est un boulot herculéen.

Écrit par : Éric | 26/05/2016

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