26/11/2016
HOMMAGE À BRANDO
Ce soir-là il mit Berthe au lit
Le cul tout oint de Bertolli
Pour un remake fort joli
Du Dernier tango à Paris.
06:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (6)
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Ce soir-là il mit Berthe au lit
Le cul tout oint de Bertolli
Pour un remake fort joli
Du Dernier tango à Paris.
06:00 Publié dans Poésie (?) | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
J'ai un pote qu se sert du fil à couper le beurre. Va comprendre. Un autre ne veut que des cierges bénis. Paraît-il pour pas offenser le saigneur. Le plus naturel, c'est à sec ou humecté d'humeurs corporelles.
Écrit par : Marc Bonetto | 26/11/2016
Quelle expérience tu as, Marco !
Écrit par : Éric | 27/11/2016
Dix ans d'études de proto-musicologie pour devenir le bon dottore Bonetto.
Écrit par : Marc Bonetto | 27/11/2016
Spécialisé dans les instruments à vent, je suppose, du fifre au bombardon...
Écrit par : Éric | 27/11/2016
Pas seulement, mon bon. Avec, en sus, un doctorat en psychiatrie, j'ai eu droit à toutes sortes d'instruments et de pratiques qui n'étonneront que le profane. Ma dernière contribution aux "Cas psycho-paranoïaques" portait sur un patient qui prenaient ses trois principaux orifices pour les portes de l'enfer. Quand il s'ancra dans la ciboule qu'il n'était autre que la nouvelle arche de Noé, nous ne pûmes sauver ni lui ni son chargement de bestioles.
Écrit par : Marc Bonetto | 27/11/2016
Quel programme !
Écrit par : Éric | 28/11/2016
Les commentaires sont fermés.