21/12/2016
Bataille d'aphorismes
Bataille d'aphorismes lors de la journée portes ouvertes de Cactus Inébranlable éditions.
08:40 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (4)
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Bataille d'aphorismes lors de la journée portes ouvertes de Cactus Inébranlable éditions.
08:40 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
B... de d... à t... de c... de m... ! Ca, c'est une nouvelle qui dépote les pétunias en boîte ! Bon, là, j'ai vu que la présentation du Querton (que j'embrasse), mais ça m'a fait jubiler comme la hyène gotlibéenne. Je me réserve l'intégrale pour un jour de grosse déprime (bientôt), histoire que ma rate reprenne un peu du poil de la bête. Plein de gros bis aux quatre mousquetaires (pas qu'aux enchapeautés, non, à tous), mais dis-moi : après les festivités officielles, ça a fini en partouze ?
P. S. Pour ne pas trop foutre le waï, j'ai censuré la première unité phrastique. Si, et seulement si, ça te chante, je te la remets en entier et enrichie en plutonium.
Écrit par : Marc Bonetto | 21/12/2016
Marco, les partouzes sont une vieille habitude française. Ici, on picole et on rigole, sans plus.
(Bordel de dieu à tronche de crétin de merde ? Ou un truc du genre, non ?)
Écrit par : Éric | 22/12/2016
Qu'est-ce que tu me chantes-là, gary ? L'orgie vient d'être classée au Patrimoine mondial de l'humanité, avec une mention spéciale à la partouze gelbe. Le bi. Hénaurme !
Sur la photo, t'es d'une élégance folle. Faut dire qu'à part Dédé, le Querton (un bi aussi) et Paulot (un autre bi), ils jouent un peu à "J'ai vu de la lumière, alors je suis entré." Tu me diras, c'est pas plus mal.
Franchement, t'es craquant... Au fait, t'habites chez tes parents ?
(Un truc du genre. Faut juste changer "tronche de crétin" ?)
Écrit par : Marc Bonetto | 24/12/2016
Cher Homme Invisible, on classe tout et n'importe quoi. Tu en as certainement plein les poches.
J'emmerde l'élégance comme ma première couche de 1958.
Cette dubitativité des aphorismeurs deviendra légendaire : quatre aphilosophes qui s'apprêtent à rire.
Écrit par : Éric | 26/12/2016
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