29/04/2017
AU NOM DE LA MÈRE
— M’an Marie ! M’an Marie !
— Quoi encore !
— A caca à culotte, m’an Marie.
— Bon sang, Jésus ! C’est pas possible ! Encore faire dans ton falzar à douze ans ! Mais qui m’a foutu un enfant pareil ?
06:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
— Miam-miam, caca, kiki, rhaaaa ! m’an Marie.
— Bordel de dieu, il se branle en bouffant sa merde ! Il finira mal, ce fils de con.
Écrit par : Marc Bonetto | 30/04/2017
Et on ne parle pas de sa soeur jumelle !
Écrit par : Éric | 02/05/2017
Avec qui il avait des relations incestueuses ?
Écrit par : Marc Bonetto | 02/05/2017
Comme avec sa mère et son beau-père, mais à l'insu de son plein gré vu son retard mental. Il ne pouvait même pas rouler en vélo. Gaby, les ailes repliées, prenait discrètement des photos mais il n'a pas eu l'imprimatur pour le Nouveau Testament.
(Inspiré par "Voici l'homme" de Michael Moorcock)
Écrit par : Éric | 02/05/2017
Après ça, on s'étonnera qu'il ait mal fini.
Écrit par : Marc Bonetto | 02/05/2017
Bah, il a recommencé trois jours après son décès. Incorrigible !
Écrit par : Éric | 03/05/2017
Qué pourri de ses osses ! La crucifixion, c'était trop gentil. Moi, je te l'aurais torturé pendant des jours, avant de l'écarteler à petit feu. Qu'il sente bien sa douleur. Pour finir, comme les dirigeants nazis condamnés à Nuremberg, j'aurais brûlé son corps et répandu ses cendres dans la mer. A côté de cette fiente et de son pote Muhammad Kebab, Hitler est un enfant de coeur.
(Les dirigeants nazis n'ont peut-être pas été brûlés, mais personne ne sait où ils ont été enterrés.)
Écrit par : Marc Bonetto | 04/05/2017
Je ne voudrais pas t'avoir comme bourreau, Marco.
Écrit par : Éric | 05/05/2017
Même si je te fais un prix ?
Écrit par : Marc Bonetto | 05/05/2017
C'est payant, en plus ! Je ne te savais pas vénal, Marco. Létal, oui, mais pas vénal.
Écrit par : Éric | 05/05/2017
Hé ! bourreau, c'est un sacré turbin et il faut le matos adéquat. Tu sais combien coûte la location d'une machine à écarteler, des brodequins ou une fraise de dentiste ? Et j'aime bien quand le client me file la pièce. Ca prouve une certaine reconnaissance, qu'on a apprécié le savoir-faire et le sérieux d'un pro.
Écrit par : Marc Bonetto | 06/05/2017
De quelle université es-tu diplômé ? À moins que tu n’aies appris sur le tas...
Écrit par : Éric | 06/05/2017
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