21/07/2022
QUI NE RISQUE RIEN...
Dès que son vin blanc fut lancé sur le marché, il fit… un tabac ! Des œnologues mondialement réputés le portèrent aux nues ! D’autant plus que son prix, malgré son incroyable qualité, le rendait accessible au gosier de Monsieur-tout-le-monde. L’éleveur de ce cru qui allait marquer l’histoire vinicole se frotta les mains et s’empressa d’engager du personnel, certain qu’il n’avait roulé personne en ayant baptisé son nectar Château Lapisse.
05:01 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (26)
Commentaires
Tiens, ça me rappelle le vin jaune du Jura : un nectar...
Et puis l'avantage, pour ton marchand de vin, c'est qu'il ne craint ni la grêle ni le gel.
Écrit par : Bella | 21/07/2022
Et il est 100 % bio !
Écrit par : Éric | 21/07/2022
Ca donne envie d'une bonne douche. En attendant, je vais prendre un bain de minuit.
A bientôt, mes jolis.
Écrit par : Marc Bonetto | 26/07/2022
Tu devrais essayer la méthode Cléopâtre, Marco : le bain de lait d'ânesse. Ou ânesses, car il fallait en traire plus d'une. À minuit si tu veux.
Écrit par : Éric | 27/07/2022
Un bain de minuit, yè ! sans ânesse(s) et avec Cléopâtre. A propos de la mordue de l'as de pique, si dans ta verte jeunesse tu as eu la chance de humer sa colle, sache, si ce n'est le cas, qu'on en trouve encore. Peut-être pas partout, mais à la librairie-papeterie Decitre de Grenoble, on peut se délecter à son parfum d'amande.
Adessias à tézigue et à la charmante Bella.
Votre Vioquistanais qui est sur l'ordi complètement pourrave du payou médicastre.
Écrit par : Marc Bonetto | 27/07/2022
Désolé, Marco, je n'ai jamais humé de colle, quelle qu'elle soit.
Écrit par : Éric | 28/07/2022
Moi non plus. En revanche, j'ai chié dedans assez souvent.
Écrit par : Bella | 28/07/2022
Ça doit être une spécialité marseillaise, un truc qu'ils ajoutent dans la bouillabaisse (avec deux S).
Écrit par : Éric | 28/07/2022
Oh, pute borgne ! j'y crois pas. Rico, je vais bientôt à Grenoble et, à condition que ma mémoire ne flanche pas, je t'envoie un pot de Cléopâtra. T'inquiète, tu risques pas de rester coller au plafond, mais seulement d'avoir une furieuse envie d'amandes.
Gente Bella, en voulez-vous un pot itou, à condition de ne pas vous en servir comme pot de chambre ? Si vous avez une envie pressante, essayez les bénitiers. En cette période de sécheresse, les ouailles s'esjouiront de ce peu de liquide au fond de la conque pour s'humecter le front et le reste*.
Adessias, mes jolis !
Votre vieux vous tape le bi, y compris à Bella, à condition qu'elle l'agrée.
*Je ne fréquente les églises que pour les visiter. J'avais bien proposé à une mienne amie que nous nous accouplions sur le maître-autel, mais elle me traita d'obsédé sexuel. Tremper les doigts dans de l'eau bénite croupie et où tant d'autres doigts sont passés, c'est risquer le choléra morbus.
Écrit par : Marc Bonetto | 28/07/2022
J'espère qu'il y aura un mode d'emploi.
Écrit par : Éric | 29/07/2022
Ne jamais entrer dans une église sans capote !
(C'est ce que maman disait toujours.)
Écrit par : Bella | 28/07/2022
Mon ami André Stas m'a raconté que quand il était jeune, il s'était amusé à vider de l'encre de chine dans les bénitiers d'une église...
Écrit par : Éric | 29/07/2022
Oh, excellent ! Comme ça, on pouvait reconnaître les cathos dans la rue. :D
Écrit par : Bella | 29/07/2022
L'encre était tout de même diluée dans l'eau bénite.
Écrit par : Éric | 30/07/2022
Et un aphrodisiaque puissant dans le vin de messe, il y a pensé, ton copain ?
Écrit par : Bella | 30/07/2022
Il n'avait pas accès à la sacristie.
Écrit par : Éric | 30/07/2022
Ma proposition de vous envoyer à chacun un pot de colle Cléopâtra tient bon. Rico rappelle-moi par courriel ton adresse complète à Pont-à-Celles. Si Bella en veut aussi, qu'elle m'envoie la sienne. Rassurez-vous, je ne vous harcèlerai point ni ne vous enverrai l'un de mes séides.
Il me semble bien que tonton Mimi, feu mon oncle, pissait dans le bénitier, car à quoi sert un bénitier, sinon à y pisser ?
Écrit par : Marc Bonetto | 31/07/2022
Ça peut aussi servir de dégueuloir, non ?
Écrit par : Éric | 01/08/2022
Le bénitier deviendrait enfin utile. Placé plus bas, il pourrait aussi servir comme réceptacle à fèces.
Écrit par : Marc Bonetto | 01/08/2022
L'Église, dans sa mansuétude, n'a jamais prévu de bénitiers pour les nains et le culs-de-jatte.
Écrit par : Éric | 02/08/2022
Tiens ! c'est vrai. Un scandale.
Et un système pour que les manchots puissent se signer, ce serait pas mal aussi.
Écrit par : Bella | 03/08/2022
Le Père Dieu est loin d'avoir pensé à tout.
Écrit par : Éric | 03/08/2022
"Si on pouvait prouver l'existence de dieu, on le condamnerait aux travaux forcés à perpétuité." ("Album Ponchon", cité de mémoire.)
Écrit par : Marc Bonetto | 04/08/2022
Rien ne sert de bouffer du curé, c’est du dieu qu’il faut bouffer. Quel qu’il soit. (Jacques Sternberg)
Écrit par : Éric | 04/08/2022
Dieu n'existe pas, il est donc immangeable. Les curés, de toutes les religions, ben non, c'est pas tentant à bouffer. Question de goût. En revanche, je leur pisserais bien dessus. Enfin, je sais pas. Ils pourraient y prendre plaisir, ces pervers amoureux du martyre.
Écrit par : Marc Bonetto | 07/08/2022
Le clergé est plus pédophile qu'urophile.
Écrit par : Éric | 08/08/2022
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