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01/01/2023

2023

2023 ne pourra pas être pire que 2022.

J'ose donc vous souhaiter une bonne année.

("Excellente" eut été un peu trop optimiste...)

05:00 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (15)

Commentaires

Excellente année 2023, Eric! (Soyons fous!)

Écrit par : Bella | 01/01/2023

Oui, soyons fous mais point sots.

Écrit par : Éric | 02/01/2023

Ni sonneur des lilas.

Écrit par : Bella | 02/01/2023

N'oublions pas le célèbre floricide : le Poing Sonneur des Lilas.

Écrit par : Éric | 03/01/2023

C'est pas pour casser l'ambiance (enfin si, un peu), mais 2023 (et les suivantes - s'il y en a) sera certainement pire que les précédentes. Plus modestement, je vous souhaite de baiser comme des bêtes, de boire et manger votre saoul, de lire quelques bons livres et d'être protégés du mal de la macaque, mal terribilissime s'il en est.

Parrain vous fait le bi.

Écrit par : Marc Bonetto | 03/01/2023

Pas certain que je suive tous tes conseils, Marco. Les bons livres, certainement, encore faut-il en trouver...

Écrit par : Éric | 05/01/2023

Peux-tu nous en dire plus sur ce mystérieux "mal de la macaque" ?
L'attrape-t-on en lisant de mauvais livres ?

Écrit par : Bella | 04/01/2023

C'est un mal fabriqué à Marseille, sans avoir fait l'objet de 1 252 publications de prof Raout qu'est un trop gros prétentiard de ses osses de sa race pour s'attaquer à un tel truc qu'est pas fait pour les pédélino-borsalino. En fait, le charme non-pareil tient tout dans le nom, le signifiant comme disent les lingouistes. Certains blogues affirment que ça signifie "bronchite". Ce sont que des foirards, des masles vesnes infarcies, des raclures de Gog et Démagog ! Si le mal de la macaque n'était que ça, Parrain, il s'imbiberait de Cointreau tant il serait désespéré. Le mal de la macaque, c'est La maladie, The mal of maux ! Compritch, if I cause en Gliche, little darling ? Moi, j'y mets bien profond tout ce que je veux, à condition que ça fende la pêche, l'abricot et la fiche fraîche.
Scusi au Rico pour ce message trop long.
Le bi, quand même.

Écrit par : Parrain | 04/01/2023

La lecture des mauvais livres donnent-elles le mal de la macaque ? Parrain, ton Parrain, il sait pas et il s'en fout. Non obstant, il vous conseille de vous en tenir aux bons livres. Y en a suffisamment avec ça qu'on peut se passer des mauvais qui pullulent comme morpions sur une motte.

Re-bis à tousse.

Écrit par : Parrain | 04/01/2023

Eh bé ! J'avais déjà pas l'intention de mettre les pieds à Marseille, mais là on touche au raidibitoire, comme dit mon copain cunnilingouiste.

Écrit par : Bella | 04/01/2023

La cunnilingouistique, hum ! tout un programme où l'on ne doit pas s'ennuyer, contrairement à la linguistique, surtout si on y ajoute l'anulingouistique.

Écrit par : Marc Bonetto | 05/01/2023

Parrain s'esjouit de vous dissuader de venir à Marseille la putride. Vous ne perdez rien : il y a assez d'horreurs qu'il vaut mieux éviter. Allez plutôt à Paris. C'est une vraie ville, pas un truc puant posé au bord de la mer et qui sue la cagole, le nervi et les langastes.

Écrit par : Parrain | 05/01/2023

Marseille, Paris, pour moi, c'est kif. Toutes les grandes villes puent, sauf Berlin, la ville la plus propre que j'ai visité à ce jour.

Écrit par : Éric | 05/01/2023

La ville la plus propre que je connaisse, c'est Vienne, propre, astiquée et antipathique.

Écrit par : Marc Bonetto | 05/01/2023

À Berlin, tu mangerais par terre n'importe où et la ville est bien sympathique.

Écrit par : Éric | 05/01/2023

Les commentaires sont fermés.