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En ce tridi 23 vendémiaire de l’an II, en place de Grève, l’officiant à la guillotine restait perplexe : comment allait-il procéder pour exécuter ces frères siamois ?
05:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Parrain, exaspéré par l'incompétence humaine, te tape le bi.
Écrit par : Marc Bonetto | 13/04/2023
Écrit par : Éric | 14/04/2023
Le tridi 23 vendemiaire, c' est le jour du navet, comme le pseudo-bourreau qu'est pas cap d'accourcir deux mectons collés-serrés. Il veut qu'utiliser la guillotine. Soit. Il suffit donc de laisser tomber la lame sur la partie communicante. L'idéal serait qu'ce soit le zob. Sinon, de la même manière, il te les démembre et si, ensuite, ça passe toujours pas, l'article 7 432-5-69 de Code pénal autorise en cas de force majeure d'élaguer avec des coustifs de boucher. Reste plus qu'à enfourner les tronches dans le cylindre et, schlanck, le tour est joué. Faudra aussi virer le sous-fifre, puisque la place d'honneur, c'est celle de la Révolution (l'actuelle Concorde avec l'obélisque tanqué au mitan). La Grève, elle sert que quand y trop-plein de charretées.
Allez, je te fais un bi, mais me confond plus avec l'autre coyon de ses osses.
Écrit par : Parrain | 15/04/2023
Je transmets les conseils à l'intéressé via la machine temporelle.
Bonne continuation à vous.
Écrit par : Éric | 16/04/2023
Les commentaires sont fermés.