13/05/2023
Un peu de pub (559)
DINGBATS
par Alain Zalmanski
Un recueil jouissivement ludique : les dingbats sont des rébus composés uniquement de lettres, chiffres, symboles et signes typographiques. Par exemple, la couverture propose « Un tableau riche en couleur » et « Envers et contre tout ». Aussi amusant que les casse-tête dit chinois. Vous ne serez pas étonné en apprenant que l’auteur est membre du Collège de ’Pataphysique et de l’OuPolPo.
Un extrait ici.
Ginkgo éditeur, collection L’Ange du Bizarre (2022)
64 pages
6 €
L’auteur ne semble avoir ni blog ni site
Le site de l’éditeur
05:00 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (10)
Commentaires
Ca t'étonnera pas, mon gary, si Parrain préfère les vrais casse-tête, ceux qui réduisent en bouillie les tronches d'antivol, aux casse-tête chinois qui me les brisent menues et m'empelotent les nerfs. Quand je lis, c'est pas pour m'emmerder avec des jeux pataphysico-oulipopotins. Si j'avais vécu à la fin du XIXe siècle, je t'aurais saigné comme un goret, le Jarry. Les Queneau, Perec, Calvino et autres ont pondu des trucs biens. J'ai relu dernièrement Zazie. Quelle poilade ! "W ou le souvenir d'enfance" est un grand bouquin. Bordel à cul ! pourquoi des mectons doués s'amusaient à des trucs à la con qui font même rire. Si je croise un enflé de la bande, il aura affaire à mon surin.
Écrit par : Parrain | 17/05/2023
Doucement, cher Parrain ! On n'est jamais obligé de lire un livre.
Écrit par : Éric | 18/05/2023
T'as entièrement raison, mon rico. Bon, de retour de vacances, j'étais évréné après le Désentripailleur qui m'a salopé une dizaine de zigue. De plus, cet obsédé bibineur a claqué le fric contre les faveurs de dames joyeuses et du mauvais vin. La bagatelle, pas de problèmes, à condition que ça nuise pas au taf. Là, mon arsouille, il est enchaîné dans la cave avec du pain et de l'eau. Non, pas de fouet. Il aime trop ça.
Le bi.
P. S. J'y pense : ça te dit pas de rejoindre la bande à Parrain, en délocalisé ?
Écrit par : Parrain | 19/05/2023
Merci pour la proposition, cher Parrain, mais je ne suis pas fait pour vivre en bande.
Écrit par : Éric | 21/05/2023
Parrain supporte pas la vie en groupe, et un groupe commence à deux. Non, chacun chez soi. On se retrouve pour planifier nos actions, on bosse parfois ensemble, quand il s'agit d'anéantir des supporterres, par exemple. La plupart du temps, je charge les sbires de petits boulots, petits mais payants. Ca ne s'est pas su, mais Mukélé a fait des photos compromettantes de Merluchon en compagnie de cinq dames. On s'est bien marré quand on l'a vu branler sa pine au cirage en beuglant l'Internationale, pendant qu'une fille lui fourrait un gode. Si ça te dit, tu pourrais bosser en solo, délocalisé, quand tu veux, si tu veux. On te fournit juste le matos et les tuyaux, et tu ramasses le magot. Parrain ramasse sa commission, mais j'suis un boss généreux, d'après les séides.
Écrit par : Parrain | 21/05/2023
Désolé, cher Parrain : quand j'ai dit non, cela reste non.
Écrit par : Éric | 23/05/2023
Tant pis, je vais chercher ailleurs. "I'm a poor lonesome young band, / I feel alone / I'm a poor loneome young band, / I break my gueule."
Écrit par : Parrain | 23/05/2023
Je ne doute point de vos talents de recruteur, cher Parrain.
Écrit par : Éric | 25/05/2023
Il y a quelques appelés et peu d'élus. Et les recalés, il est indispensable de les occire. Il faut des années et une chance de cocu pour dénicher le séide d'exception.
Écrit par : Parrain | 25/05/2023
Bonne chasse, comme dit la cuvette.
Écrit par : Éric | 26/05/2023
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