Revues reçues (7)

Le numéro 153 de DÉCHARGE, la revue de Jacques Morin, est paru. Un dossier consacré à Gilles Pajot, un autre à Anna Jouy, et de nombreux inédits de l’ami Hervé Merlot. Plus beaucoup d’autres choses.

Revue trimestrielle A5 – 148 pages
Abonnement : 22 € pour 4 numéros
Le site de la revue

Le copieux sommaire et les modalités d’abonnement sont ici

Merci, Charlotte !

Dans son numéro 23, Relais, le magazine culturel du Pays de Géminiacum (entités de Pont-à-Celles et des Bons-Villers) m'a consacré un article à lire ici.

Un peu de pub (176)

TRAC
par Sophie Braganti

Après Vrac (notulé ici), voici un deuxième opus de textes courts de Sophie Braganti. Cela va de l’autobiographie à l’universel et cela se laisse lire bien gentiment malgré l’absence de ponctuation.

Un extrait ici

Éd. Gros Textes (2012)
80 pages – Photos de l’auteur
7 €
ISBN : 978-2-35082-178-8
Le blog de l’auteur
Celui de l’éditeur

Revues reçues (6)

Le numéro 23 de PAGES INSULAIRES, la revue de Jean-Michel Bongiraud, est paru.

Revue bimestrielle A4 – 32 pages
Abonnement : 20 € pour 6 numéros

Le sommaire et les modalités d’abonnement sont ici

Pas que du récent (72)

PING-PONG
par Jean-Bernard Pouy et Marc Villard

Premier recueil de nouvelles croisées entre les deux auteurs. Le deuxième est notulé un peu plus bas et le troisième suivra bientôt. Ici, Villard a proposé treize nouvelles à Pouy. Boulot de Pouy : les relier entre elles. Au total, vingt-cinq histoires bien courtes, avec l’imagination au pouvoir.

Éd. Rivages/Noir (2005)
180 pages
6,50 €
ISBN : 2-7436-1440-4
Pour en savoir plus sur les auteurs et l’éditeur, descendre un peu, beaucoup, tendrement...

Revues reçues (5)

Le 148^e numéro de VERSO, la revue d’Alain Wexler, est paru.

Revue trimestrielle A5 – 132 pages
Abonnement : 20 € pour 4 numéros
Le site de la revue

Le copieux sommaire est ici

Un peu de pub (175)

ENGEANCES
par Frédérick Houdaer

Après Angiomes (2005) et Engelures (2010), voici le troisième recueil de poèmes de l’ami Frédérick. Un peu plus de soixante textes qui nous racontent, avec humour, son quotidien qui pourrait parfois être le nôtre. L’autodérision est également au rendez-vous, ce qui ne gâche rien. À quand le prochain, Fred ? En novembre, si mes souvenirs sont bons !

Un extrait ici

Éd. La Passe du Vent (2012)
90 pages
10 €
ISBN : 978-2-84562-191-6
Le blog de l’auteur
Le site de l’éditeur

Revues reçues (4)

Le numéro 49 de COMME EN POÉSIE, la revue de Jean-Pierre Lesieur, est paru.

Revue trimestrielle  – 72 pages
Abonnement pour 4 numéros : 12 € (France) / 15 € (hors France)
Le blog de la revue

Le copieux sommaire est ici

Pas que du récent (71)

NUS
par Jean-Bernard Pouy

Les délégués d’une série de groupes alternatifs, rassemblés sous le nom de collectif libertaire ZO, se retrouvent comme tous les ans pour leur université d’été. Cette année, ils ont choisi un camp de naturistes tenu par Harrar, un ami anarchiste. En arrivant au camp, ils apprennent que Rosa, une retraitée qui faisait le ménage pour Harrar, a été tuée par un rôdeur. Ils découvrent que la vielle femme n’est autre que la fille de Durutti, un illustre anarchiste espagnol, grand combattant républicain. Ils ne peuvent pas rester là à se tourner les pouces, il ne faut pas que ce crime reste impuni...

Éd. Fayard (2007)
228 pages
18 €
ISBN : 978-2-213-63216-2
Beaucoup d’autres titres de Poupou sont notulés plus bas sur ce blog
Le site de l’éditeur

Revues reçues (3)

Le numéro 60 des HÉSITATIONS D’UNE MOUCHE, la revue de Robert Serrano et Éric Latouche, est paru.

Revue trimestrielle A5 – 32 pages
Abonnement : voir avec Robert via le blog de la revue

Au sommaire :
Coup de projecteur de Jean-Claude Leslourdy
Nouvelles et poèmes de Monique Boulant – Nelly Bridenne – Julie Conseil – Cribas – Philippe Dupret – Muriel Friboulet – Geneviève P.  – Jean Pézennec

Pas que du récent (70)

DARE-DARE
par Chester Himes

À Harlem, deux employés noirs sont sauvagement abattus au petit matin par un mystérieux tueur. Un troisième employé, qui a miraculeusement survécu, affirme que le tueur est un homme de race blanche et qu’il semblait être saoul. Le sergent Peter Brock et son beau-frère, l’inspecteur Walker, mènent cette enquête qui leur réservera quelques noires surprises.

Gallimard – Série Noire 492 (1959)
250 pages
6,50 € (Folio Policier – 2004)
Un peu plus sur l’auteur

Irréflexions (40)

Révolution électroménagère : le lave-linge-sale-en-famille.

Les gens qui adorent faire parler les chiffres sont-ils des pro-stat ?

Carnet mondain
Le mariage de l’homme-au-jardin-secret avec la bêcheuse durera-t-il ?

Si Brad Pitt avait fait ses études en français, quelle joie pour ses professeurs en lui rendant une interrogation ratée : « Pitt : bulle ! »

Conseil culinaire
Autruche : on grille.

Revues reçues (2)

Le 6^e numéro de L’AUTOBUS, la revue de Fabrice Marzuolo, est paru.

Revue A5 – 20 pages
Abonnement : se renseigner auprès de Fabrice via son blog

Au sommaire : Kévin Broda – Fabrice Marzuolo – Jean-Baptiste Pedini – Jany Pineau – Morgan Riet – Salvatore Sanfilippo

« Les mains dans le cambouis de la poésie... Veiller à ce que les pieds ne soient pas qu’une manière de ne pas se salir les doigts, une sorte de papier hygiénique du cul de la conscience. »

Un peu de NON pub (1)

LE GUIDE DES GENS – France 2012
par Philippe Caubet (textes) et Léa Lund (photos)

De qui se moque-t-on ? Ce livre a obtenu le Grand Prix de l’Humour Noir 2012 bien qu’il ne soit ni humoristique ni noir. Il fait plutôt dans le gnangnan prout-ma-chèresque. Qu’un jury choisisse un livre de ce genre pour un tel prix, j’y pers mon latin ! Alors, de qui de moque-t-on ?...

Éditions Noir sur Blanc (2011)
144 pages inutiles
14 €
ISBN : 978-2-88250-259-9
Le site de l’éditeur

Traction-Brabant 45

Le 45^e numéro de TRACTION-BRABANT, la revue de Patrice Maltaverne, est paru.

Revue A5 – 56 pages
Abonnement : 10 € pour 5 #
Le blog de la revue

Textes de Pierre Anselmet – Jan Bardeau – Marc Bonetto – Nicolas Brulebois – Michèle Caussat – Georges Cathalo – Jean-Marc Couvé – Emmanuelle Damour – Éric Dejaeger – Olivier Gay – Cathy Garcia – Jean Gédéon – Olivier Millot – Murièle Modély – Vincent Motard-Avargues – Didier Ober, Christophe Petit – Thierry Radiere – Morgan Riet – Salvatore Sanfilippo – Michel Talon – Jean-Marc Thévenin – Marc Tison – Pierre Vella – Chantal Viart – Claude Yvroud

Illustrations de Linda Benadda - Marc Bonetto - Henri Cachau – Jean-Marc Couvé – Jacques Laborde - Marc Tison – Pierre Vella – Patrice Vigues

Un peu de pub (174)

L’OISEAU ET LE CIEL
par Frédéric Jimenez

Il s’agit d’un recueil initialement publié par Guy Chambelland en 1977 aux éditions du Pont de l’épée. Frédéric Jimenez a onze ans à l’époque. On est étonné, à la lecture, par la maturité de ce pré-adolescent, ainsi que par la noirceur, la profondeur et la simplicité de ses textes.

Un extrait ici.

Merci à Philippe Lemaire qui est l’instigateur de cette réédition, illustrée de ses collages choisis par l’auteur.

Éd. Gros Textes (2012)
40 pages
6 €
ISBN : 978-2-35082-180-1
Le blog de l’éditeur

NEWS!

Le 29e numéro de la revue ReMue est en ligne ici.

Message du Dr. Lichic

Cher contributeurs de la Brucellôse*,

Veuillez trouver ci-joint le numéro 25 de la Brucellôse, à ne pas mettre en ligne. Le dernier ? Oui, si je considère ma réserve de textes proche de zéro!

Alors, pour que vive la Brucellôse, j'attends vos textes, brèves, texticules, anagrammes, dessins, collages, poêmes, rubriques et autres produits décalés de vos fertiles et bestiaux cerveaux!

Dr Lichic

* La revue toujours en miction, qui s'affiche dans les lieux d'aisance de Bruxelles.

Irréflexions (39)

Quand quelqu’un parle d’aller à la piscine, il ne s’agit pas nécessairement de se rendre à un urinoir XXL.

Cri républicain : « Bouffons du roi ! ».

Carnet mondain
Le mariage de l’homme de paille avec la rousse incendiaire durera-t-il ?

Deux idées de remake
Le silence des ânes hauts et Le saigneur des agneaux.

Après la maison clé sur porte, le gibet plaie sur corde.

Pas que du récent (69)

CHAOS DE FAMILLE
par Franz Bartelt

Obsédé sexuel romantique et timide, il a épousé une femme frigide extrêmement jalouse. Dix-huit après, l’un des nombreux membres de sa belle-famille décède et tout le beau-monde débarque chez lui. Ils/Elles sont tous dépressifs incurables. Et ça commence à saigner... Excellent !

Éd. Gallimard – Série Noire grand format (2006)
216 pages
16,60 €
ISBN : 2-07-078099-6
Un peu plus sur l’auteur
Je ne vous présente pas l’éditeur

Pas que du récent (68)

LE SAC DE COUFFIGNAL
par Dashiell Hammett

Deux nouvelles et un roman inachevé dans lequel Hammett parle de sa façon bien à lui d’écrire. Avec une postface très intéressante de Lillian Hellman.

Marco mettra en commentaire que l’intégrale des nouvelles de Hammett est disponible chez je ne sais plus quel éditeur. N’hésitez pas à vous la procurer, ce n’est pas du scribouillage de gares.

Éd. Gallimard – Carré noir 346 (1980)
252 pages
5,70 €
ISBN : 2-07-043346-3
Un peu plus sur l’auteur
Je ne vous présente pas l’éditeur

LA FRUSTRATION

À la limite de l’orgasme, elle lui souffla : « Je voudrais… que tout ça… recommence… éternellement ! » À la limite de l’orgasme, elle lui souffla : « Je voudrais… que tout ça… recommence… éternellement ! » À la limite de l’orgasme, elle lui souffla : « Je voudrais… que tout ça… recommence… éternellement ! » À la limite de l’orgasme, elle lui souffla : « Je voudrais… que tout ça… recommence… éternellement ! »

(La version intégrale, en recherche d'édition, compte 812 pages.)

Pour ceux qui auraient oublié...

C'est ce mercredi 21 mars, à 19h30, à la bibliothèque Louis Scutenaire de Lessines.

Un peu de pub (173)

SAMEDI 14
par Jean-Bernard Pouy

Il s’était rangé des véhicules à moteur. Il cultivait son petit jardin depuis quelques années. Il avait été la tête pensante et écorchante du Groupe Van Gogh : il coupait une oreille à de trop riches capitaines d’industries. Et voilà que le fils de ses vieux voisins devient ministre de l’intérieur et qu’il se retrouve un peu comme en prison. Insupportable ! Il repart en campagne avec les poèmes de Queneau en poche !!!

Éd. La Branche (2011)
176 pages
15 €
ISBN : 978-2-353-06-045-0
Le site de l’éditeur
Si vous voulez en savoir plus sur JBP, visitez mon blog

Pas que du récent (67)

LA VILLE ET LES CHIENS
par Mario Vargas Llosa        

Premier roman, paru en 1963 en espagnol et en 1966 en français. L’écrivain a déjà fait très fort pour une première œuvre. Il y raconte son adolescence, et en particulier les trois années passées au collège militaire de Lima où les nouveaux élèves, appelés « chiens » par les anciens, subissent un bizutage cinq étoiles. De la superbe écriture !

Éd. Gallimard – Folio 1271 (1981)
532 pages
8,40 €
ISBN : 2-07-037271-5
Un peu plus sur l’auteur
Vous connaissez l’éditeur

Un peu de pub (172)

ON PASSE À QUELQUE CHOSE
par Isabelle Pinçon

Pas toujours facile et souvent difficile de parler d’un recueil de poèmes. Lisez-en plutôt un extrait ici avant de passer à autre chose.
Si vous aimez la poésie, n’hésitez pas à faire vivre les Éditions Gros Textes qui publient une trentaine de titres par an, à des prix très abordables.

Éd. Gros Textes (2012)
54 pages
6 €
ISBN : 978-2-35082-176-4
Un peu plus sur  l’auteur
Le blog de l’éditeur

MICROBE 70

Avec un peu de retard – on n’a pas que ça à faire ! – le 70^e numéro du Microbe est à l’impression.

Au sommaire :
Illustrations de Martine Zimmer
Textes de
Pierre Anselmet
Yve Bressande
Éric Dejaeger
Guillaume Decourt
Fabrice Farre
Jean-Paul Gavard-Perret
Jean-Philippe Goosens
Frédérick Houdaer
Diane Meunier
Jean-Jacques Nuel
Morgan Riet
Thierry Radière
Thierry Roquet
Salvatore Sanfilippo
Guillaume Siaudeau

Les abonnés le recevront dans quelques jours.

Les abonnés « + » recevront également le 33^e mi(ni)crobe signé Paul Guiot : MAIS QUI SONT-ILS ?

Comme d’habitude, les autres ne recevront rien. Pour tous renseignements, contactez-moi.

C'est pas moi qui l'dis...

Bernard French-Keogh a lu La saga Maigros et voici ce qu'il en pense...

Mais revenons à la saga. J'avoue être resté un moment sans voix, dépassé par le choc : je ne te savais pas capable d'écrire de telles choses. Sur ce, la lecture fut plutôt agréable ; au bout de quelques épisodes, je me demandais jusqu'où tu pourrais aller dans l'abject et l'horreur, comment tu pourrais encore en ajouter.

Et j'étais surpris, tu surpassais mon imagination sans effort, tu arrivais encore à en ajouter dans le stupre et la fornication et autres joyeusetés. Obèse, sale, ivrogne, impudique, goinfre... Bérurier est largement dépassé par l'abomination du personnage.

Ce flic est en réalité un personnage profondément humain, il finit par être sympathique, et d'abord il n'arrête personne : une qualité qui se perd dans la police.

Tu as dû bien t'amuser en écrivant ce texte, j'imagine un peu comme Apollinaire écrivant les 11 000 verges (ou les amours d'un hospodar dit mon wiki).

Qui sait ce qui restera de ton œuvre dans 100 ans, mais ce texte est une gageure, et il faut le conserver au catalogue de tes œuvres complètes, c'est un must pour connaître Éric Dejaeger

Tu m'as étonné, et fait rire.

Bravo.

Un peu de pub (171)

JUS DE BOUCHE
par Guillaume Siaudeau

Le regard de Guillaume accroche à tout, en particulier à ce qui est petit, illusoire, en passage. Pour notre plus grand plaisir. Un extrait ici.

Éd. Gros Textes (2011)
60 pages
6 €
ISBN : 978-2-35082-170-2
Le blog de l’auteur
Le blog de l’éditeur

C'est pas moi qui l'dis...

Jean-Marc Couvé a lu La saga Maigros et voici, dans son style bien à lui, ce qu'il en pense.

Ai fini ton Maigros - qui ferait passer Bérurier pour un nenfant d'coeur, et les zeuvres complètes du dit vain Marquis pour une bluette en cours de dé-composition ! Sans déconner, si m'en croyez, ami poète libèr' Tintin, vous commîtes-là un monument de rabelaiseraillerie sur-rénalisante et pastrouillante... Un pot si bleu (kif la Chimay) d'aller plus loin ! On sent (ahan nez-vanne ouïr) que Lauteur a le sujet de lâche hyménée en main – qu'il ne change de-main que pour se prendre le pied dans lierre...
Cette saga pour gars gag-a gargantuesque va filer des bouts ton-dus aux zigs du PHN, à leur en zigouiller le PH de la peau, voire à les envoyer direct au HP pour y choper lâche ode-pisse, brother !
Et je finis, manière de ménager tes chevilles (ouvrières), par : I love you parce qu'y s'ra pas dit que la Cuné restera la seule à jas-piner l'angle-ich (liebe dich)...