24/11/2009
JEU POUR ADULTES
Lorsque le roi vit sa reine se faire mettre par son fou de droite, il les cloîtra tous deux dans la plus délabrée des tours. Il s’installa dans l’autre avec ses deux cavaliers et son fou resté fidèle pour faire ripaille. Frustrés, les pions firent le siège des deux bâtiments, liquidèrent définitivement le seigneur et sa cour et rasèrent ses murs.
08:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (10)
Commentaires
ça c'est de l'échec !
Écrit par : thoams | 24/11/2009
Aux guerres ?
Écrit par : Éric | 24/11/2009
Je savais bien que c'était un jeu violent, mais je préfère la brutalité et l'absence de stratégie : à coups d'échiquiers.
Écrit par : Marc Bonetto | 24/11/2009
Tu me déçois, Marc.......... Pourquoi ne pas taper à coupS de roi, de reine, voire de président (En France, c'est petit mais ça fait mal).
Écrit par : Éric | 24/11/2009
"la brutalité et l'absence de stratégie : à coups d'échiquiers."
Je suis mdr ! :-))
Écrit par : co errante | 24/11/2009
Pour co et Marx, pardon, Marc :
1789 - bof
1968 - bof
200x...
Ou 201x...
Voire 20xx !
Écrit par : Éric | 25/11/2009
"Marx", heureux lapsus, cher Ohm ! Mais plutôt Harpo ou Groucho.
Quant à taper sur un zigue avec un autre zigue, c'est pas très pratique, à moins d'en trouver un n'excédant pas le kilo. Là, t'es obligé de te rabattre sur le foetus. Assez peu ragoutant. Ou bien couper dans le tibia à l'égoïne et se servir du pied comme fléau d'arme.
Écrit par : Marc Bonetto | 25/11/2009
Faut-il être si costaud pour taper à coup de Sharko ? Et faire d'une pierre deux coups...
Écrit par : Éric | 25/11/2009
Dur, dur, la vie de château.
Écrit par : éric | 26/11/2009
Il manque souvent une case à ceux qui les habitent.
Écrit par : Éric | 26/11/2009
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