14/04/2017
Un peu de pub (374)
IL FAUT REPEINDRE LE MOTEUR
par Yves Artufel
J’écrivais récemment dans mon recueil d’irréflexions en cours que ce que je trouvais de moins en moins dans la poésie actuelle, c’était de la poésie. Ce recueil me prouve le contraire avec son mélange d’aphorismes, de proses poétiques (rien à voir avec le surfait poème en prose !) et de poèmes. C’est beau, sans plus, et on comprend tout ! Rien n’est extrait du nombril et il n’y a pas de faits personnels divers verticalisés ou verticalement diversisés. Même si ce recueil reprend en partie des textes parus à la fin du XXe siècle (20e pour ceux qui ne déchiffrent plus les chiffres romains), les powètes du n’importe quoi devraient en prendre de la bonne mauvaise graine. À ceux qui commenteront qu’Yves est mon éditeur, je réponds déjà que je ne fais jamais de cadeau sur ce blog.
Deux extraits ici.
Éd. Gros Textes (2016)
72 pages
9 € port compris
ISBN : 978-2-35082-303-4
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06:00 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
les extraits me plaisent bien...La poésie contemporaine où la plume est devenue vit pour faire plaisir au masturbateur
Écrit par : joaquim | 14/04/2017
Non, dans la poésie contemporaine, il n'y a plus de plume ni de vit : il y a le clavier pour se curer l'énorme nombril !
Écrit par : Éric | 18/04/2017
Se curer le nombril avec le clavier, c'est un truc masochiste, surtout pour ceux qui ont un portable, non ?
Écrit par : Marc Bonetto | 19/04/2017
Les petits poètes ont une tablette...
Écrit par : Éric | 20/04/2017
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