16/10/2017
Irréflexions (188)
Élus de pères en fils, de pères en filles, de mères en fils, de mères en filles... Et l’on s’étonne d’une dégénérescence du monde politique !
L’art d’aujourd’hui pue plus que le fric qui l’achète.
Les banques n’ont pas d’odeur. Si elles sentaient la chatte, ce sont elles qui seraient baisées.
La nouvelle page de mon carnet d'irréflexions est prête, comme moi, à se noircir.
06:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Je ne rougis pas de tremper mon surin porte-plume pour remplir le carnet des zigues ouillés à mon actif. Tiens, si jamais tu traînes rue Hautefeuille (Paris 6e), juste sous l'échauguette, pense à moi : c'est là que j'officie généralement. Entre le 28 septembre et le 1er octobre, pas moins de quatre-cent-quatre touristocrates. Pas mal ?
Écrit par : Marc Bonetto | 16/10/2017
Cher Mar(co)seillais, ne te sens-tu pas touriste à Paris ?
Écrit par : Éric | 18/10/2017
Depuis cinq ans, j'ai le titre de Citoyen d'honneur de la ville de Paris. Cerise sur le gâteau : on m'a également déclaré "honte de Marseille". Tu imagines mon bonheur.
Écrit par : Marc Bonetto | 19/10/2017
Les citoyens donneurs sont les bienvenus à la banque du sperme...
Écrit par : Éric | 23/10/2017
Je fréquente pas les lieux de perdition.
Écrit par : Marc Bonetto | 24/10/2017
Je ne fréquente pas ces lieux tout court.
Écrit par : Éric | 25/10/2017
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