20/10/2017
Irréflexions (189)
En politique, il faut PERCER ! La douceur ne sert à rien.
Qui suit le droit chemin en aura vite fini de son exploration.
La France qui vante la littérature belge ignore ce qui se publie chez nous.
Quand j’ai vu le jour, m’a-t-il vu lui aussi ?
06:00 Publié dans Aphorismes et calembours | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
La douceur ne sert à rien, t'as raison, gary, d'autant plus qu'elle existe pas. En politique comme en n'importe quoi, faut percer. Moi, j'ai une panoplie de perceuses et de forets à faire baver d'envie les bricolos du dimanche. Pas plus tard que la semaine dernière, j'ai fait huit mille neuf cent vingt-cinq trous dans un mec. Il coulait de partout. C'était splendide. Versailles à l'échelle d'un être humain.
(Si t'as besoin d'un cinquante-et-unième chapitre maigrossesque, tu peux développer. Seulement, faut que le zigue, il crève tout à la fin. T'attaque pas d'emblée le crâne, le buste ou les cuisses, et après chaque trou, tu cautérises soigneusement. Le but, c'est de faire durer la souffrance et la peur.)
Écrit par : Marc Bonetto | 22/10/2017
Tu aurais pu être le bras droit de Torquemada ! Quant à Maigros, ce n'est pas vraiment son style, c'est trop raffiné.
Écrit par : Éric | 23/10/2017
Tu me flattes.
Écrit par : Marc Bonetto | 24/10/2017
Je devais être dans un bon jour.
Écrit par : Éric | 25/10/2017
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