29/04/2024
LE POINTILLEUX
Pour être certain de finir entre quatre planches, il suivit des cours d’ébénisterie et se fabriqua un magnifique cercueil en forme de prisme à base triangulaire.
05:00 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Bien vu ! Entre quatre planches, quelle expression idiote... C'est comme "passer l'arme à gauche" : drôlement coton pour les gauchers.
Écrit par : Bella | 29/04/2024
Même les fachos finissent par passer l'arme à gauche ! Ce sont les plaisirs de la langue française. J'ai noté dernièrement : "À 4h du matin, ils sortirent de la boîte de conserve."
Écrit par : Éric | 29/04/2024
Des maquereaux, sans doute...
Écrit par : Bella | 29/04/2024
"De conserve" : j'ai pas compris tout de suite, mais elle est bonne. Bella, tu penses aux macs ou aux poissons ? T'as testé le mélange maquereaux au vin blanc, sardines à l'huile, avec du pain, du beurre et des radis. Ca doit pas être dégueu. Un peu indigeste si on abuse.
Le bi.
Écrit par : Marc Bonetto | 29/04/2024
Possible, Bella. Je n'étais pas présent, n'ayant jamais mis les pieds dans une boîte boumchlackpantûûûtboum. Les baloches du samedi soir comme Renaud les a si bien chantés jadis, oui !
Écrit par : Éric | 29/04/2024
Marco, oublie le maquereau et son vin blanc. Jette l'huile des sardines, allonge-les dans une assiette creuse, couvre-les de véritable huile d'olive comme celle produite par ma fille cadette qui possède une oliveraie dans La Mancha, remplace les radis par de petits oignons à l'aigre-doux, laisse macérer trente minutes et en dégustant, mouille des morceaux de baguette. Pas une tuerie, un génocide ! Au resto gastro(nomique), ils te le font à soixante-dix euros. En entrée. Pour la ventrée (mot rare), c'est plus cher.
Écrit par : Éric | 29/04/2024
Ca donne envie. Seulement, je suis fâché à mort avec la cuisine. Même faire cuire des pâtes m'emmerde.
La meilleure huile que j'ai eu la chance de déguster était un "cadeau" de connaissances à mes parents pour avoir passé un long après-midi pluvieux de novembre à ramasser les olives. On s'était pelés comme c'est pas permis.
Ta fille vit dans cette région désertique de l'Espagne ? Par admiration pour Cervantès ? Parce qu'elle a embrassé la voie de Thérèse d'Avila ?...
Le bi.
Écrit par : Marc Bonetto | 02/05/2024
Le compagnon de notre fille cadette est originaire de La Mancha. Ils habitent à Villarobledo. Il y a trois ans, ils ont acheté un terrain avec 550 oliviers.
Écrit par : Éric | 02/05/2024
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