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14/07/2018

Irréflexions (224)

Quand, au JT, François de Brigode qualifie de « situation surréaliste » un embouteillage sur une autoroute belge, j’ai envie de lui enfoncer les quatre dernières lettres de son nom dans l’anus.

En cas d’entérite, interdiction d’utiliser la toilette sèche.

David Guetta* : le cancer du song.

Rapin obsédé par le cul, il ne peint que des (a)nus.

 * Ou qui vous voulez du monde musical.

Commentaires

Deux irréflexions anales sur quatre. Yè !

Écrit par : Marc Bonetto | 22/07/2018

J'en lis quatre, l'entérite faisant référence au trou du cul et Guetta en étant un.

Écrit par : Éric | 22/07/2018

"A cul de foyrard, toujours abonde merde." (Rabelais.)

Écrit par : Marc Bonetto | 25/07/2018

"A cul de foyrard, toujours abonde merde." (Rabelais.)

Écrit par : Marc Bonetto | 25/07/2018

Elle abonde même doublement !

Écrit par : Éric | 25/07/2018

Les commentaires sont fermés.