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30/07/2020

DE TOUTES MES FARCES

Mon petit dernier vient de sortir de presse !

Dejaeger - De toutes mes farces.jpg

DE TOUTES MES FARCES
regroupe 60 pages bien tassées d’irréflexions en tout genre.

En couverture : Le briseur de grève de Jean-Paul Verstraeten.

Prix : 10 €.

Plus d’informations, dont la succulente 4e de couverture, ici :

https://cactusinebranlableeditions.com/produit/de-toutes-...

Vous pouvez le commander directement chez l’éditeur
ou dans votre librairie habituelle.

Pour un exemplaire dédicacé, contactez-moi.

16:01 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (6)

27/07/2020

De circonstance ?

« En cas d'épidémie, il faut tuer tout le monde pour qu'elle ne se propage pas. »

Louis Scutenaire, Mes inscriptions (1974-1980), s.l., Le Pré aux Clercs, 1984, 32.

14:59 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (4)

26/07/2020

Irréflexions (317)

Médium : femme ou homme d’esprits.

Tata Yoyo, dans sa tête y a comme un grelot. Dans la mienne, c’est une apertintaille.

Les vins de la baie d’Ocoa sont les picrates des Caraïbes.

Un vide à combler : aucune entreprise ne vend de colle pour cœurs brisés.

J’ai heureusement très souvent envie de ne rien écrire.

23/07/2020

Irréflexions (316)

Évitez de vous perdre dans Lanusse, commune landaise.

Il faut différencier la fille de gigolo du fils de pute.

Sois pelle et creuse, toi !

Maggie De Block a reçu le « no belle » de politique.

Bientôt une nouvelle compétition réservée aux athlètes convaincus de dopage : la Coupe des Vices.

18/07/2020

Irréflexions (315)

Lors d’une collecte de sang, on te le prend même si tu as picolé. Je trouve dommage qu’on ne te rende pas l’alcool.

Qui sème les vents fait fuir son entourage.

Variante : qui sème les vents est celui qui tant pète.

D’après les astrologies chinoise et d’ici, je serais un chien de terre vierge. Rien à foutre mais zoophiles s’abstenir.

Toutes les baleines vous le diront : c’est un descendant du capitaine Achab qui a inventé le sac en plastique.

15/07/2020

Irréflexions (314)

L’eau à la bouche ne présente aucun intérêt. Plutôt un bon marc.

— Éric Dejaeger, je vous offre un verre !
— Un ?

Le porcelet est l’enfance de lard.

C’est quand tu n’y arrives pas qu’il faut cesser de persévérer et passer à autre chose : la plomberie paie mieux que la littérature.

Je ne regarde pas derrière moi. Juste un peu devant pour ne pas rater une marche.

11/07/2020

Irréflexions (313)

Black White My lives live life matter matters.
Donald Trump

Le vrai maçon refuse les pétards. Il veut des joints rectilignes.

Un film d’horreur porno :
Rocco scie Freddy.

Aveugle et muet, il insultait en braille et en langue des signes.

Pour guérir de la gangrène, plongez votre pied dans un bassin rempli de piranhas.

08/07/2020

Irréflexions (312)

L’anticlérical fait caca dans la calotte.

Le jour tombe et la nuit se lève.

Quand il commence ses examens, le proctologue porte une b(l)ouse immaculée.

Je connais une cavalière qui ne manque pas d’esprit. De selle.

Je finirai comme mes cigarillos : en cendres.

05/07/2020

On continue ?

11 ans.jpg

Ben oui, onze ans que je nourris ce blog.

Ce qui ne vous rajeunit pas !

05:05 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (7)

Pas que du récent (236)

Godin - Armons-nous.jpgARMONS-NOUS LES UNS LES AUTRES !
par Noël Godin

Cannes, mai 1997. Alias, assassin notoire, est sur la Croisette pour saboter la 50e édition du Festival du Cinéma le plus célèbre du monde. Il est flanqué de son âme damnée, La Morve, un répugnant stropiat dont la chaise roulante en remontrerait à un char d’assaut. Le résiné – et bien d’autres choses – coule à flot dans ce gore grand-guignolesque au mirifique mauvais goût. L’un des habitués de ce blog devrait se régaler s’il met la main sur un exemplaire.

Flammarion (2003)
306 pages
18,30 €
ISBN : 978-2-068685-3
Un peu plus sur l’auteur, si nécessaire

02/07/2020

LE VOYEUR

Dans un bikini rikiki,
Elle est allongée sous le chêne
Sur sa chaise longue. Elle lit
Un gros roman de Sue (Eugène).

Son voisin mate à qui mieux mieux
Planqué derrière ses troènes.
Dans son pantalon, c’est aqueux.
Bien trop rares, de telles scènes.

La belle semble avoir trop chaud.
Elle pose le lourd volume
Et, gracieuse, enlève le haut.
Le vit du voyeur devient grume.

Elle se présente de dos.
Ses fesses, ornées d’une ficelle,
Font penser à deux abricots
Cuivrés. Le bougre en étincelle !

Il se prépare à décharger
À l’insu de cette coquette
Quand sa moitié s’en vient hurler :
— Albert ! Albert ! La soupe est prête !