22/09/2010
Un peu de pub (104)
Le numéro 54 des HÉSITATIONS D’UNE MOUCHE est paru.
Au sommaire :
Coup de gueule de Robert Serrano.
Nouvelles : Henri Cachau, Éric Dejaeger, Didier Laguette, Patrick Larriveau, Fabrice Marzuolo & Cédric Taillefer.
Poèmes : Stan Berg, Judith Boulene, Henri Cachau, Didier Charnay, Michel Lavergne, Julien Lavie, Stéphane Paul Prat, Thierry Roquet & Cédric Taillefer.
Couverture : Catherine Garry.
36pages, format A5
Abonnement : 10 € pour 4 numéros
Contact : lecritdelamouche@yahoo.fr
Le site : http://pagesperso-orange.fr/hesitations-mouche/
12:49 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (22)
News
Le quinzième numéro de La Brucellôse - la Revue des Urinoirs et Lieux d’aisance bruxellois - qui se veut aisantielle, est paru.
Au sommaire :
L’envoyé spécial
Mr Doiseau
Daniel Dujeux
Dr Lichic
Théophile de Giraud
Dominique Claude
On peut parcourir ce compissant numéro ici.
12:19 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (0)
21/09/2010
Pas que du récent (20)
LE FANTÔME DU CHIMPANZÉ
par Fredric Brown
Fredric Brown a toujours aimé dérouter, bousculer les habitudes. Ce polar, publié aux États-Unis en 1948, se déroule dans le monde des forains. Sur un champ de foire itinérant, trois meurtres sont commis, dont celui d’un chimpanzé. La police piétine. Am Hunter et son neveu Ed, qui s’occupent d’un chamboule-tout, décident de mener leur propre enquête.
Éditions PAC, collection Red Label, 1978
284 pages
Uniquement en occase
Un peu plus sur l’auteur ici.
18:38 Publié dans Pas que du récent | Lien permanent | Commentaires (0)
16/09/2010
Pas le bon, en droit
Merci d'être venu sur mon blog mais je ne suis ni prêtre ni pédophile.
Thanks for visiting my blog but I am neither a priest nor a paedophile.
Dank u en blijf Vlaams.
20:29 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (25)
14/09/2010
Pas que du récent (19)
TRAITÉ D’ATHÉOLOGIE
par Michel Onfray
Je m’attendais à un pamphlet. Pas du tout. C’est avec calme et humour – et sans tomber dans le jargon philosophique si cher aux philosophes – qu’Onfray démolit sereinement les trois grandes religions monothéistes, la chrétienne, la judaïque et l’islamique. Il se sert essentiellement d’extraits du Livre respectif de chacune d’elles pour étoffer sa démonstration : un être humain ayant accès à un minimum de culture autre que religieuse ne peut pas croire en Dieu le Père, Yahvé ou Allah.
Grasset, 2005
282 pages (dont une très intéressante bibliographie)
18,50 €
ISBN / 2-246-64801-7
Le site de l’auteur est ici
Et celui de l’éditeur ici
18:06 Publié dans Pas que du récent | Lien permanent | Commentaires (12)
10/09/2010
Un peu de pub (103)
FUNÉRARIUM
par Étienne Éthaire
Laetitia Telatin, écrivaine, la quarantaine, apprend la mort inopinée de son père. L’auteur nous raconte, pratiquement minute par minute, ce qui se passe entre le coup de téléphone annonçant le décès et le moment de la mise en terre. Une série de saynètes racontées à la première personne, entrecoupées des réflexions de la narratrice. Humour (noir) et ironie sont au rendez-vous.
Le Somnambule Équivoque, 2009
104 pages
12 €
ISBN : 978-2-930377-22-3
Le site de l’auteur : ici
L’éditeur : ici
08:00 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (0)
09/09/2010
C'est pas moi qui l'dis...
André Stas parle du Seigneur des ânes dans sa chronique littéraire de la revue C4 (n°195-196, septembre 2010). À lire ici !
06:20 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (0)
Un peu de pub (102)
Dans une superbe présentation, le numéro 1 de la revue CHAROGNE est maintenant disponible en version papier et en couleur.
Au sommaire :
Julien Blaine
Antoine Bréa
Éric Dejaeger
Perrine Le Querrec
Océane Le Tarnec
Éric Poindron
Stéphane Prat
Pascal Pratz
Thierry Roquet
Guillaume Siaudeau
Dimitri Vazemski
Thomas Vinau
32 pages A5
6 €
Abonnement : 12 € pour deux numéros
Renseignements ici.
06:18 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (2)
08/09/2010
C'est pas moi qui l'dis...
John Ellyton a lu Je ne boirai plus jamais d'ouzo... aussi jeune.
Sincèrement, ton recueil instantané #2 est très amusant à lire. D’autant plus qu’il est très soigné. Inventif et humoristique. C’est du bon travail et l’aspect « bout du monde autarcique » est assez très joyce : il y a une conscience aiguë de ces vacances, une conscience pointue de ce que tu en retires, de la jouissance assurément, mais distillée (sans jeu de mots) avec perfidie morose qui fait que tous les autres vacanciers sont complètement à côté de la plaque et qu’ils ne méritent que de retourner à leur esclavage. On t’envie pour avoir su pondre ce petit bijou et pour avoir vécu le contenu. Et puisqu’il faut un anticlimax, ne t’en fais pas, ce recueil ne peut pas plaire à tout le monde, à commencer par les 6 999 999 935 personnes qui ne pourront pas le lire.
08:00 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (8)
07/09/2010
News
Avec même pas 20° au thermomètre début septembre, l'hiver approche à grands pas.
Je mets donc le blog en hibernation, sauf pour les livres à lire et les revues à paraître. J'ai sept manuscripts à caser et je vais consacrer un peu de temps à chercher - et peut-être trouver - des édit(u)eurs.
08:00 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (6)
06/09/2010
Pas que du récent (18)
RN 86
par Jean-Bernard Pouy
Lucie fugue pendant un mois et ne rentre au domicile conjugal qu’à une seule condition : son mari, Léonard, ne doit lui poser aucune question. Il accepte. Quelques jours plus tard, Lucie se suicide. Léonard veut savoir ce qui s’est passé pendant son absence. En fouillant dans les affaires de feu son épouse, il ne trouve qu’un unique indice : une carte postale avec le pont du Gard. Il décide de partir là-bas…
Folio Policier, 1998 (Éd. originale : Série Noire, 1992)
218 pages
5,60 €
ISBN : 2-07-040642-3
L’auteur n’a pas de site personnel
08:00 Publié dans Pas que du récent, Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (2)
05/09/2010
C'est pas moi qui l'dis...
14:56 Publié dans Divers | Lien permanent | Commentaires (2)
04/09/2010
Un peu de pub (101)
PHOTO DE L’HÔTEL DE LA DERNIÈRE VACANCE
par Fabrice Marzuolo
Dix-neuf poèmes de l’ami Fabrice, humoristiques, bien noirs, bien grinçants ! J’en redemande !
Quand les poètes écrivent
toute la beauté de la vie
je préfère regarder la télé
Plaquette « maison »
20 pages A5
? € (mais ça doit être un tout petit prix)
Pour en savoir plus, contactez l’auteur via son blog.
Découvrez aussi, gratuitement, le délicieux MON NON ROMAN AVEC CO ERRANTE : une petite histoire virtuelle d’amour platoniquovirtuel. C’est ici.
08:00 Publié dans Un peu de pub | Lien permanent | Commentaires (7)
03/09/2010
News
La revue virtuelle Re-Mue m'a posé quelques questions. L'interview et la revue sont à découvrir ici.
15:50 Publié dans News | Lien permanent | Commentaires (5)
01/09/2010
MYTHO ?
...Approchant de Thèbes, Œdipe sortit de sa besace un paquet de papyrus et se mit à relire les milliers d’énigmes et leurs réponses qu’il avait consignées depuis des années, un oracle lui ayant prédit qu’il devrait un jour affronter Sphinx. Il était certain que la réponse à la question qu’allait lui poser l’horrible fils de Typhon et d’Echnida se trouvait dans ses notes.
...Après plus de quatre heures de lecture, Œdipe se décida et parcourut au petit trot les quarante-deux kilomètres et cent quatre-vingt-quinze mètres qui le séparaient de l’antre de la bête-homme.
...Même pas essoufflé – malgré un Chronos qui, s’il avait pu être homologué, serait à ce jour le dix-septième depuis son temps - il se planta fièrement devant le monstre et dit : « Pose ta question, Sphinx, je suis pressé ! »
...Sphinx le toisa sans se démonter. Il lâcha – ô surprise – une sonore caisse.
...« Moi aussi ! grogna le tératoïde en couvrant la déflagration d’une deuxième vesse. Voici l’énigme : on me trouve dans le désert, on doit (pffrrououout) mettre des gants avec moi et, surtout, je peux faire taire le sphincter de Sphinx. Que suis-je ? »
...Étonné par la question, Œdipe lui demanda de rÉpéter. Ce que Sphinx fit (flêtflêtflêt) sans déjà faire.
...« Euh...
...— Mais encore ?
...— Phh....
...— Plus vite !
...— Ben... »
...Gnapscrunchscrunch. Sphinx dévora le jeune homme, nous privant à tout jamais d’un complexe et, malheureusement, d’un remède contre la flatulence inopinée.
...Quant à Jocaste... Mais c’est une tout autre histoire.
13:09 Publié dans Contes élagués et courtes proses | Lien permanent | Commentaires (8)